Les obligations vertes ont connu un développement rapide. Pourtant, il faut encore convaincre la majorité des entreprises d’y avoir recours, malgré de solides arguments en faveur de cet outil.
Dans certaines circonstances, les individus peuvent se sentir plus riches qu’ils ne le sont en réalité. Ce qui les rend plus enclins à augmenter leurs dépenses, et à souscrire des emprunts. Pourquoi ?
Avec cette émission obligataire géante, Amazon rentre dans la cour des très grands émetteurs de dettes corporate et démontre sa puissance financière. Analyse de sa stratégie.
En signant des contrats « toxiques », les banques s’approprient des revenus générés par l’économie réelle. Analyse d'un contrat « toxique » signé par une municipalité iséroise en 2007.
Une étude sur les comportements des banquiers après l’échec entrepreneurial de leurs clients permet de proposer des pistes pour profiter quand même de leurs financements.
La Métropole de Grenoble n’aurait jamais dû signer ces contrats d’emprunts. Elle a saisi le gain immédiat de taux d’intérêt, ce qui arrangeait bien les finances de la collectivité à l’époque.
Pour comprendre mieux comment les élus locaux se sont engagés dans des emprunts toxiques, analyse de trois cas alpins : Grenoble, Seyssins et Sassenage.
L’utilisation par des mairies d’emprunts toxiques était-il due à la mauvaise formation en économie des élus locaux ? Cette étude montre qu’au contraire, plus les élus savaient plus ils signaient.
Pourquoi, dans les démocraties modernes, les élus ne disent pas la vérité sur la situation économique de leur pays ? L’Athènes antique a peut-être des leçons pour nous.
Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)