Aux antipodes de la quête d’un unique alter ego, héritée de l’amour romantique, le polyamour revêt des formes multiples. Ses adeptes placent la communication au centre des relations.
Entre fantasme et réalité: les Canadiens sont presque trois fois plus susceptibles de souhaiter une relation libre que d'en avoir une. Seul 2,4% d'entre eux vivent une telle relation.