Premiers résultats d’un nouveau programme de recherche en sciences cognitives dédié à l’étude de nos capacités de perception des paysages sonores naturels.
Grâce à des pièges photographiques et à la surveillance acoustique passive, les chercheurs ont pu capturer les mouvements de 152 espèces avec une richesse de détails époustouflante.
Les littoraux sont particulièrement touchés par cette pollution sonore anthropique qui affecte la faune marine, pour qui l’usage du son remplit des fonctions essentielles.