Première dans l’Histoire, la présidence jumelée de la France et l’Allemagne du Conseil de sécurité des Nations unies a démarré le 1ᵉʳ mars. Une des rares conséquences positives du Brexit pour l’UE ?
Le Président Macron et le chef d'état-major des armées, François Lecointre, le 14 juillet 2018, à Paris.
Thibault Camus/ AFP
La parole militaire prend timidement une place plus grande dans l’espace public, reflétant le besoin de mieux expliquer le rôle joué par ceux qui mènent des guerres au nom de leurs concitoyens.
Emmanuel Macron participe à un débat avec des maires en Indre et Loire, Gargilesse-Dampierre, le 14 février 2019.
Guillaume Souvant/AFP
Face à l’épuisement de l’action politique, Emmanuel Macron lui-même proposait en 2011 d’avoir recours à l’animation permanente du débat et aux choix collectifs.
L’État néerlandais a porté sa participation dans le capital du groupe Air France-KLM a 14 % le 27 février.
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L’annonce surprise de la montée au capital de l’État néerlandais souligne une nouvelle fois toute la fragilité de ces alliances entre grandes entreprises de nationalités différentes.
A Bordeaux, le 16 février 2019.
Nicolas Tucat / AFP
Il faut trouver des mesures de nature à satisfaire des aspirations à court terme, même si elles seront considérées comme insuffisantes par les « gilets jaunes » compte tenu du rejet massif du Président.
Les enjeux sont multiples et voient se juxtaposer considérations philosophiques, politiques et économiques.
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Si l’on entend favoriser une sortie de crise, il conviendrait, tout d’abord, d’éviter tout ce qui pourrait de nouveau alimenter des débats et polémiques nuisibles à la cohésion sociale.
A Paris, lors de «l'acte XIV», le 16 février 2019.
Eric Feferberg / AFP
La relation bilatérale pâtit de conjonctures nationales, mais aussi d’un vaste mouvement de recomposition des forces politiques à l’échelle continentale avant les élections européennes de mai.
Vue de l'hémicycle, le 29 janvier 2019.
Philippe Lopez / AFP
L’extrême mobilité et la rapidité sont les premières caractéristiques de la communication macronienne. Elles nimbent la figure du dirigeant d’une aura insaisissable qui brouille les pistes.
Emmanuel Macron devant le temple d'Abu Simbel, le 27 janvier 2019.
Ludovic Marin/ AFP
À quelques mois des élections européennes, il est nécessaire pour Paris de replacer la question du partenariat euro-méditerranéen pour construire une politique européenne ambitieuse dans la région.
Pour beaucoup au Nigéria, la visite d’E. Macron au Shrine de Fela Kuti en 2018 a constitué un événement exceptionnel. Un retour sur l’histoire de ce lieu culturel et politique mythique permet de saisir les enjeux de cette soirée présidentielle.
Fela Kuti entouré de ses proches à Kalakuta Republic.
nonfiction.fr
Après la visite d’E. Macron l’été dernier au New Afrika Shrine de Lagos, retour sur l’histoire de ce lieu culturel et politique mythique, et à travers elle sur la trajectoire de son fondateur, Fela Kuti.
Le président Macron, le 15 janvier 2019, au Grand Bourgtheroulde (Normandie), pour lancer le « grand débat ».
Ludovic Marin/AFP
Les enquêtes d’opinion mettent en évidence l’impérieuse nécessité de changer de voie, tant celle qui a été suivie depuis plus de trente ans s’apparente à une impasse.
Le Président, concentré, lors du lancement du «grand débat national» en Normandie, le 15 janvier 2019.
Ludovic Marin / AFP
Le débat national imposé par les « gilets jaunes » à Emmanuel Macron est sans doute la dernière chance pour le Président de tenter de résoudre la tension majeure née des conditions de son élection.
Comment un débat informel de deux mois, sur des thématiques mêlant des mesures programmatiques à des questions institutionnelles, pourrait-il réparer en profondeur notre système représentatif ?
La question de la gestion européenne d’une crise économique survenant dans un État membre de la zone euro est renvoyée aux calendes grecques.
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Le projet européen s’oriente vers la mise en place d’un budget commun privilégiant la convergence des États membres plutôt que la stabilisation des économies en cas de choc. Explications.
Les « gilets jaunes », Bordeaux, le 15 décembre 2018.
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Vue à travers le prisme des « ordres sociaux », la crise des « gilets jaunes » pose la question de la cohérence et de l’efficacité des institutions représentatives dans les sociétés occidentales.
La coopétition entre individus peut provoquer des dégâts mais elle est également porteuse de nombreuses opportunités.
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La recherche s’intéresse généralement aux organisations qui se trouvent dans des situations qui mêlent coopération et compétition. Mais l’étude au niveau de l’individu est aussi riche d’enseignements.
enseignant en relations internationales (Sciences Po) - responsable de l'unité d'enseignement "aire juridique et administrative'" (Master Lisi, UFR EILA, Université Paris VII Denis DIderot), Sciences Po