CRESST (Cryogenic Rare Event Search using Superconducting Thermometers) est une expérience de recherche de particules de matière noire au LNGS (laboratoire souterrain du Gran Sasso, Italie)
CREEST
La matière noire est encore mystérieuse ; pourtant, elle serait six fois plus présente que la matière « ordinaire ». Plusieurs laboratoires dans le monde cherchent à percer ce mystère.
Les trajectoires de galaxies au fil de l'évolution de l'univers semblent dessiner un feu d'artifice (ici, il s'agit d'un modèle numérique avec des données artificielles).
Bruno Lévy, Inria
Et si on pouvait rembobiner l’évolution de l’univers depuis l’époque actuelle, jusqu’au big bang.
Euclid nous apporte des images d'une grande netteté sur de larges portions du ciel. Ici, la nébuleuse dite de la tête de cheval.
ESA/Euclid/Euclid Consortium/NASA, données calculées par J.-C. Cuillandre (CEA Paris-Saclay), G. Anselmi
André Debus, Centre national d’études spatiales (CNES)
Le nouvel observatoire Euclid, lancé ce 1ᵉ juillet, va étudier la matière sombre et l’énergie noire, pour tenter de comprendre l’expansion de l’univers.
Dès qu’on lève les yeux la nuit, on peut observer le passé des étoiles.
La collision de plusieurs galaxies observées par le télescope James-Webb. Image obtenue en combinant les données de deux instruments différents.
NASA, ESA, CSA et STScI
Destiné à scruter le cosmos, le James Webb Space Telescope est enfin prêt à prendre son envol. Retour sur la genèse et les buts de ce projet hors norme.
Le James Webb Space Telescope plié dans la fusée Ariane 5 qui partira de Kourou, vue d'artiste. Le lancement est prévu pour le 22 décembre 2021.
ESA / D. Ducros
Le JWST est replié dans Ariane 5. Avant de nous envoyer ses premières données scientifiques, il va se déployer dans l’espace et être testé pour s’assurer que ses instruments fonctionnent.
L'immense miroir du James Webb Space Telescope ne rentre pas dans une fusée. Il faut le replier, puis le déplier une fois dans l'espace.
NASA/Chris Gunn
Plus de 1 200 scientifiques de 14 pays ont participé à la construction du Webb. À quoi va-t-il servir ? Pourquoi un tel coût, et d’où viennent les retards ?
Amas de galaxies A370 vu par Hubble.
NASA, ESA/Hubble, HST Frontier Fields
Ces galaxies sont observées lorsque l’univers n’était âgé que de 3 milliards d’années. Récit de l’intérieur d’une découverte, qui est une confirmation d’un travail commencé il y a une décennie.
Sonder la structure de l’univers et faire de l’« archéologie galactique » – quelques uns des objectifs du nouvel instrument astronomique WEAVE.
Vue projetée depuis le dessus du plan galactique du catalogue des astres à moins de 10 parsecs, ou 30 années-lumière, soit 300 000 milliards de kilomètres.
galaxymap.org Twitter : @galaxy_map.
Voir le ciel en couleurs pour étudier notamment les fusions de galaxies.
Les deux radiogalaxies géantes trouvées avec le télescope MeerKAT. En arrière-plan, le ciel vu en lumière optique. Le rayonnement radio des énormes radiogalaxies, vues par MeerKAT, est superposée en rouge.
I. Heywood (Oxford/Rhodes/SARAO)
D’après ce que nous savons actuellement sur la densité des radiogalaxies géantes dans le ciel, la probabilité d’en trouver deux dans cette région du ciel est extrêmement faible.
L'effet de lentille gravitationnelle «fort»: l'amas de galaxies au centre de l'image (SDSS J1038+4849) est tellement massif qu'il déforme l'espace temps et courbe les trajectoires de la lumière: les objets situés derrière l'amas nous semblent déformés.
NASA / ESA
Comment la future mission européenne Euclid étudiera-t-elle matière noire et énergie sombre dans l’univers ?
Un vide cosmique, de forme allongée et irrégulière, identifié par le logiciel VIDE. Les points rouges correspondent à des galaxies du relevé de galaxie Sloan DR7.
Guilhem Lavaux
Plongez dans le vide cosmique, source d’information inestimable sur l’expansion de l’univers.
Françoise COMBES, astrophysicienne lauréate de la médaille d'or 2020 du CNRS, ici à l’Observatoire de Paris - PSL (LERMA, CNRS / Ecole Normale Supérieure / Univ. de Cergy-Pontoise).
Frédérique PLAS / LERMA / CNRS Photothèque
Retour sur la carrière de Françoise Combes, où l’on évoquera la matière, l’antimatière mais aussi les énergie et matière noires. Bref, la plupart des mystères de l’univers.
Une simulation cosmologique, montrant la structure filamentaire de la matière noire dans la toile cosmique.
F. Leclercq (Imperial College), G. Lavaux (IAP)
Les structures visibles et invisibles de l’Univers forment la « toile cosmique », une gigantesque structure filamentaire. Les dernières avancées pour calculer et comprendre l’évolution de ce grand réseau.
Cette simulation figure les orbites d’étoiles situées à très grande proximité du trou noir supermassif qui occupe le centre de la Voie Lactée.
ESO/L. Calçada/spaceengine.org
Une observation récente montre une étoile « dansant » autour d’un trou noir – l’occasion de revenir sur les descriptions du Cosmos dans l’histoire et d’en apprendre plus sur le cœur de la Voie lactée.
Directeur de Recherche CNRS et Observatoire de Paris, investigateur principal côté français de l'instrument WEAVE, cofinancé par la Région Île-de-France dans le cadre des Domaines d’Intérêt Majeur, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)