La compensation des émissions de GES peut être un outil efficace pour limiter le réchauffement climatique. Mais plusieurs projets compensatoires ne réalisent pas leurs objectifs de réductions de GES.
Une nouvelle tendance se profile en matière de communication environnementale pour les entreprises : revoir ses promesses à la baisse, phénomène que l'on appelle « greenhushing ».
Pour atteindre la neutralité carbone, il est nécessaire de diminuer l’empreinte énergétique des zones urbaines. Le recours accru à la géothermie de surface est une piste qui doit être explorée.
Claude Villeneuve, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Charles Marty, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Maxime Paré, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) e Patrick Faubert, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Planter des arbres peut-il nous aider à résoudre la crise climatique ? Sans doute, mais jusqu’à quel point ?
Des tactiques politiques intentionnelles sont mises en place dans le but de ralentir ou de bloquer l’action concrète pour contrer les changements climatiques et abandonner des produits pétroliers.
Comment peut-on nourrir de manière nutritive une population croissante, faire face au changement climatique et ne pas détruire les écosystèmes dont nous dépendons tous pour vivre ?
Un tiers des touristes cite le vin et la gastronomie comme motivations de choix d'un séjour sur le territoire français. Mais à quelles conditions cet oenotourisme peut-il être responsable ?
Les entreprises parlent de carboneutralité, décarbonisation atteinte du net zéro. Certaines visent même l’horizon 2030. À l’heure actuelle, il s’agit d’objectifs quasi impossibles.
Kévin Jean, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) e Philippe Quirion, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Développer l'usage du vélo et la marche est un atout pour le climat mais aussi en santé publique. Il est désormais possible de chiffrer les bénéfices envisageables : voici un scénario pour la France.
La France n’est pas en ordre de marche pour atteindre ses objectifs climatiques d’ici 2030 alors qu’un développement massif des actions d’adaptation face aux impacts du réchauffement s’impose.
La plantation d’arbres et la prévention de la déforestation permettent de stocker le carbone dans la nature, mais l’effet peut n’être que temporaire. Il faut cesser d’utiliser des combustibles fossiles.
Le Canada ne cessera pas l’exploitation de son pétrole du jour au lendemain. Les métiers spécialisés seront essentiels pour mettre fin à l’industrie et créer de nouveaux emplois.
L'objectif de neutralité carbone change tout. Le Canada ne peut plus se limiter à des solutions qui réduisent partiellement les émissions ici et là. La solution choisie doit être zéro émission.
Les mesures prévues dans la loi C-12 vont dans la bonne direction, mais elles demeurent insuffisantes si le Canada veut passer à une économie décarbonée. Il doit s’inspirer des meilleures pratiques.
Sans outrepasser les règles qui fixent son mandat, la Banque centrale européenne dispose d’un ensemble de leviers pour contribuer à atteindre l’objectif européen de neutralité carbone d’ici 2050.
De ce double anniversaire ressort une impression commune : chaque fois un démarrage sur les chapeaux de roue, suivi d’un grippage du moteur et d’une désespérante course de lenteur…
S’il n’a pas la majorité au Sénat, Biden devra batailler pour tout projet conséquent de renforcement des ambitions de réductions des émissions de gaz à effet de serre de son pays.
Directeur émérite de Recherche au Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement (CEA-CNRS-UVSQ)/Institut Pierre Simon Laplace, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)