Le 27 mai 2021, un télescope américain a détecté le rayon cosmique avec la seconde plus grande énergie de l'histoire de leur détection.
Osaka Metropolitan University/L-INSIGHT, Kyoto University/Ryuunosuke Takeshige
Des particules ultra-énergétiques traversent l’Univers, et certaines croisent le chemin de la Terre. Difficiles à détecter, elles aident à explorer les mystères de l’Univers. Nouvelle découverte.
CRESST (Cryogenic Rare Event Search using Superconducting Thermometers) est une expérience de recherche de particules de matière noire au LNGS (laboratoire souterrain du Gran Sasso, Italie)
CREEST
La matière noire est encore mystérieuse ; pourtant, elle serait six fois plus présente que la matière « ordinaire ». Plusieurs laboratoires dans le monde cherchent à percer ce mystère.
L’étude des neutrinos se poursuit au LHC, grâce à un nouveau détecteur appelé FASER. Son but : détecter les neutrinos dont la production nécessite des conditions d’énergie extrêmement élevée.
Dans le tunnel de Fréjus, dans les Alpes, des chercheurs cherchent de la matière noire en provenance du cosmos.
Le détecteur de neutrinos Borexino est installé dans le laboratoire souterrain du Gran Sasso, en Italie. Ici on en voit l’intérieur, équipé de 2200 photomultiplicateurs.
Collaboration Borexino
Que se passe-t-il au cœur du Soleil pour qu’il brille si fort ? Les scientifiques construisent des détecteurs géants et enterrés pour mieux comprendre notre étoile.
Le Piton de la Fournaise en éruption, 2015.
greg de serra, Flickr
L’étude des neutrinos produits à l’intérieur de la Terre permet de mieux comprendre la radioactivité de notre planète.
Détection de neutrino (à gauche) et antineutrino (à droite) dans le détecteur Super-Kamiokande au Japon.
T2K International Collaboration / Kamioka Observatory, ICRR, the University of Tokyo.
Des résultats récents montrent que la matière et l’antimatière ne se comportent pas tout à fait pareil. Partons sur la piste des neutrinos pour comprendre comment la matière a pris le dessus.
Le Soleil photographié depuis le Solar Dynamics Observatory de la NASA. Les couleurs sont fausses, puisque la photo est prise dans les régions de l'ultraviolet extrême (du spectre électromagnétique)
NASA/SDO (AIA)
Comment a-t-on réussi à comprendre et à démontrer que des réactions de fusion nucléaire étaient à l’origine de la chaleur reçue du Soleil sur notre planète ?
Simulation d'une collision de particules dans laquelle un boson de Higgs est produit.
Lucas Taylor/CMS/CERN
La quête de la compréhension ultime des composants de la matière et donc de l’infiniment petit passe, paradoxalement, par des outils de plus en plus massifs et démusérés.
Chameaux, pyramides et flux cosmique.
Pradeep Gopal / Unsplash
Comme il existerait un ancien et un nouveau monde, il y a une ancienne et une nouvelle physique. Les hérauts de cette dernière sont les neutrinos. Voici les dernières découvertes en la (anti)matière.
Vue d'Heidelberg où se tient la conférence Neutrino 2018.
Alex Hanoko / Flickr
Petit voyage dans l’infiniment petit à la recherche des neutrinos, ces particules fantômes qui ne réagissent pas avec la matière mais tout de même bien réelles et indispensables. En route !
Le LHC du CERN illustre bien la nécessité d'appareil de plus en plus grands pour sonder l'infiniment petit.
Shellac/Flickr
Le mot atome vient du grec « insécable », pourtant on sait maintenant qu’il peut être brisé et est constitué d’éléments plus petits. Jusqu’où pourrons-nous descendre dans l’infiniment petit.
L’annonce de la découverte des ondes gravitationnelles, prédites par la théorie de la relativité générale d’Einstein, nous conduit à une nouvelle astronomie. Voici pourquoi.