Loin de réduire la pensée, la communication sur les médias sociaux, sur Twitter en particulier, est d’une grande force et efficacité. La preuve par le FN.
Meeting de Benoît Hamon, le 13 janvier 2017, à Marseille.
Anne-Christine Poujoulat/AFP
Alors que Donald Trump souhaite assouplir les règles bancaires et que certains prédisent un nouveau krach, a-t-on abandonné l’idée de mieux réguler le secteur financier ?
Le « Penelopegate » est peut-être une opportunité didactique pour mettre en lumière les rapports de genre qui continuent de régir et structurer nos sociétés et organisations.
Meeting du 1er mai 2012, à Paris.
Blandine Le Cain/Flickr
Le débat se polarise sur Pénélope Fillon alors que les pratiques de son mari sont le sujet. D'un côté une femme qui sait dire sa vérité simplement, de l'autre un mari ne sortant pas de l'ambiguïté.
Le 29 janvier, au soir du second tour de la primaire de la gauche.
Geoffroy Van Der Hasselt/AFP
Ce résultat nous dit des choses importantes sur les perspectives de court et de long terme du PS et sur les perspectives de « reconstruction » de la gauche après la présidentielle.
Jean-Luc Mélenchon en meeting à Périgueux, le 26 janvier 2017.
Nicolas Tucat/AFP
Antoine Bevort, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Le site de Mélenchon qui décolle, Marine Le Pen qui suscite le plus d’interactions sur le web, alors que Macron est à la traîne : l’examen du web et des réseaux sociaux est instructif.
Emmanuel Macron en visite au Liban, le 24 janvier 2017.
Joseph Eid / AFP
Pris dans la dynamique du « nous » et du sentiment de « mise en marche », différents thèmes sont combinés, comme autant d’éléments narratifs dans le storytelling constitué.
Un débat de bonne tenue, et à fleurets mouchetés.
Bertrand Guay / POOL / AFP
Le mécontentement à l'égard du quinquennat écoulé et l'intériorisation de la défaite annoncée semblent jouer en faveur du candidat le plus à même de refonder la gauche, Benoît Hamon.
Un candidat qui construit sa stature internationale à coup de déplacements à l'étranger.
Anwar Amro/AFP
L’acronyme du mouvement En marche fait écho aux initiales de sa propre personne : « EM dirige EM », le sommet de la pyramide est siglé par l’homme qui attrape-tout, le « catch-all man ».
Les deux finalistes de la primaire à gauche.
Bertrand Guay/AFP
La fusée des primaires n’a pas placé le candidat socialiste sur l’orbite d’un présidentiable, mais sur celle d’un futur chef de l’opposition.
Un patient dans une chambre d'hôpital. 8 Français sur 10 sont favorables à la légalisation de l'euthanasie, selon un sondage de novembre 2016.
Publicdomainpictures.net
L'écrivaine Anne Bert, atteinte de la maladie de Charcot, demande le droit de «bien mourir». Une revendication sociale qui s'exprime de plus en plus fortement.
Manuel Valls, arrivé second le 22 janvier 2017, au premier tour de la primaire de la gauche.
Eric Feferberg/AFP
Si les deux projets qui restent en lice à l’issue du premier tour de la primaire ne sont peut-être pas « irréconciliables », ils coexistent en tout cas très difficilement au sein du même parti.
La passation de pouvoirs entre Nicolas Sarkozy et François Fillon (ici le 13 février 2016) était annoncée par certains indicateurs sur les réseaux sociaux.
Lionel Bonaventure/AFP
Antoine Bevort, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Dans la primaire du Parti socialiste en cours, Benoît Hamon suscite le plus d’intérêt à la fois par le rang de son site et le nombre d’interactions suscitées sur les réseaux sociaux.
Lors du second débat de la primaire à gauche, le 15 janvier 2016.
Bertrand Guay / AFP
Rassemblés dans leur rejet de la droite et de l’extrême droite, unis sur les valeurs républicaines, les candidats à la primaire de la gauche ont marqué leurs divergences sur le terrain économique.
A Berlin, le 10 janvier 2017.
Soeren Stache/DPA/AFP
Arnaud Mercier, Auteurs historiques The Conversation France
Quand on regarde ce qui s’est passé aux États-Unis, on est en droit de se demander si on n’assiste pas, en France, à une certaine redite, avec des personnalités et dans un contexte très différents.
François Fillon, le candidat de la droite pour la présidentielle de 2017.
Thierry Charlier/AFP
Au-delà du chaos et du choc des ambitions qui marquent toute campagne présidentielle, on voit de plus en plus clairement que la géométrie de l’espace politique française n’est plus stable.
Les sept candidats à la primaire de la gauche.
Thomas Samson Joël Saget / AFP
Chercheur associé en science politique au Centre de sociologie des organisations - Chef de projet transition énergétique à France stratégie, Sciences Po