Il est possible d’avoir recours à une chirurgie qui permet de remplacer le cristallin, lentille naturelle de l’œil, par un implant – sans avoir de cataracte. Et elle n’est pas sans risque.
Après avoir examiné des photos d’yeux dans la population australienne, nous avons découvert qu’une personne sur 150 pourrait avoir des cicatrices dues à une maladie parasitaire courante.
Les impacts de l’utilisation d’appareils électroniques sont d’autant plus cruciaux durant les premières années de vie, tant sur le plan visuel que sur le développement cognitif et social de l’enfant.
Petite rougeur, gonflement anormal, réflexe des pupilles… Nos yeux, miroirs de l’âme, sont aussi témoins de notre état de santé. Voici quelques signes à suivre pour savoir quand s’inquiéter ou pas.
La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) porte bien son nom : la prévalence augmente avec l’âge et il s’agit de la cause principale de cécité chez les plus de 65 ans.
Le temps passé sur nos écrans a augmenté durant la pandémie, causant de nombreux oculaires. Ils étaient souvent présents avant, mais non diagnostiqués.
Un traumatisme crânien, même léger, peut causer une commotion cérébrale et créer des problèmes de vision. Il est important de consulter un spécialiste rapidement.
Avoir des cataractes est normal en vieillissant et cela se traite facilement par chirurgie. Plus rare, la dégénérescence maculaire ne se guérit pas mais il est possible de la prévenir.
Les adultes doivent renoncer à leurs craintes de blessures et d'enlèvement. Les enfants ont besoin de jouer dehors pour développer leur immunité, leur santé mentale et leurs aptitudes sociales.
Avec les changements climatiques, et notamment la variation de la couche d'ozone, l'exposition aux rayons nocifs du soleil a augmenté depuis 25 ans. Et les enfants sont les plus vulnérables.