Comment la fixation des taux par le conseil des gouverneurs de la banque centrale se répercute-t-elle jusque sur les prix à la consommation ? Explications.
Les politiques des banques centrales des pays « développés » ont conduit à une situation dont il paraît désormais difficile de sortir.
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Un rapide calcul montre que l’expansion monétaire aurait généré un surplus de revenus trois fois plus important pour les ménages les plus aisés que pour les plus pauvres.
L’arrivée de nouveaux investisseurs permet à de plus en plus d’États et d’entreprises de financer leurs projets sociaux.
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La crise sanitaire a conduit à une émission record de ces obligations qui visent à financer l’accès à l’éducation, à la santé ou à l’emploi.
Pour remplir leurs objectifs commerciaux, les banquiers ont tendance à octroyer plus de prêts à l’approche des clôtures comptables.
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Les entreprises et les particuliers ont tout intérêt à contacter leur banque en fin de trimestre, et surtout au mois de décembre.
La discrimination envers les femmes est généralement liée à une question de préférence et non pas à un manque d'information.
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De grandes inégalités de traitement existent dans l’accès au crédit. Le choix de son conseiller et la mise en place d’une relation sur le long terme restent les meilleures solutions pour les corriger.
Le programme de rachat d'obligations adopté en mars apparaît comme une stratégie insuffisante pour contenir une remontée des taux.
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La BCE pourrait s’inspirer de la politique de contrôle des taux longs menée par Tokyo pour plafonner les coûts d’emprunt. Une stratégie qu’avait suivie la Fed dès 1942 puis au sortir de la guerre.
Le 19 mars dernier, les autorités monétaires européennes ont annoncé l'injection de 750 milliards d'euros de liquidités pour soutenir l'économie.
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Jean-Michel Servet, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID) e Solène Morvant-Roux, Agence Universitaire de la Francophonie (AUF)
Ces dernières années, les plans d’assouplissement quantitatif ont intensifié la financiarisation de l’économie européenne. La crise actuelle pourrait donc constituer l’occasion de recibler le soutien.
La distribution directe d'argent aux ménages à été théorisée par l'économiste libéral américain Milton Friedman en 1970.
Peter Griffin
Alors que les leviers monétaires mobilisés depuis 10 ans semblent avoir atteint leurs limites, la question d’un distribution directe d’argent aux entreprises et aux ménages revient sur la table.
Olivier Passet sur le plateau de Xerfi canal.
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Invité de Jean‑Philippe Denis, l’économiste Olivier Passet analyse les taux négatifs comme le symptôme de l’échec des corpus idéologiques, aussi bien libéraux que keynésiens.
Certains moteurs traditionnels de la croissance comme l’investissement en capital ou encore les exportations participent aujourd'hui négativement à la croissance.
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À quelques mois de la prochaine élection présidentielle, les leviers qui stimulent la croissance actuelle semblent atteindre leurs limites. Une récession devrait toutefois être évitée.
L'analyse de la situation économique qui dicte la politique de la BCE est de plus en plus remise en cause en interne.
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La relance du programme d’assouplissement quantitatif décidée en septembre dernier a attisé la colère du camp « allemand », que la France rejoint pour la première fois.
L'assureur Generali a annoncé fin septembre qu'il allait limiter la collecte sur les fonds garantis.
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Les placements d’épargne sécurisés devraient progressivement faire place à des supports plus rémunérateurs, mais aussi plus volatiles.
Le niveau historiquement bas des taux d'intérêt n’est généralement pas attribué à une modification des préférences des consommateurs. Certains éléments semblent pourtant conforter cette hypothèse.
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Plus que de refléter un affaiblissement durable de la croissance, cette situation historique pourrait traduire l’essor d’une société de consommation plus responsable. Explications.
En 2018, le montant des 1 000 milliards de dollars a été atteint pour les sociétés du SP 500.
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Analyse, sous forme de conte, de la situation de l’État face au casse-tête autoroutier.
Pour 43,1 % des entreprises, protéger les systèmes passe par la formation des salariés voire par l’embauche de spécialistes en cybersécurité.
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L’indicateur du climat des affaires européen reprend sa course en avant. Aux États-Unis, ni la décision de Trump sur les tarifs douaniers, ni l’opposition au G7 ne semblent impacter les entreprises.
Lorsque les chirurgiens retirent l’estomac, ils attachent directement l’œsophage à l’intestin grêle.
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Le temps stratégique a un prix et un prix social du temps nul introduit un biais dans les comportements en favorisant une rapidité de réaction. Réflexion sur le management agile et les taux zéro.
Economist & Academic Dean of the MSc Financial Markets & Investments. Co-author of the book "Managing Country Risk in an Age of Globalization", SKEMA Business School
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)