La société tunisienne est désormais minée par une perte de repères et une faible mobilisation et le quotidien des Tunisien·e·s s’est traduit par une aggravation des conditions socio-économiques.
Les candidats Kaïs Saïed et Nabil Karoui sont qualifiés pour le second de la présidentielle.
Fethi Belaid/AFP
Le populisme tunisien est une réaction à l’essoufflement de la révolution et de la transition depuis la chute de la dictature.
Le cercueil du défunt Président porté par des officiers lors des funérailles nationales organisées dans le palais présidentiel, le 27 juillet 2019, à Tunis.
Fethi Belaid/AFP
La légitimité d’Essebsi s’accompagna de trois « coups de maître » que l’histoire retiendra de son bilan de premier président démocratiquement élu en Tunisie.
La plate-forme égyptienne d'innovation ouverte Yomken, qui a notamment permis la mise au point de nouveaux granulés pour la pisciculture, est un exemple d'initiative inclusive qui peut contribuer au développement économique de la région.
Capture d'écran Youtube.
Il existe dans cette région un réel potentiel d'innovation, notamment sur le plan social et environnemental. Certaines conditions restent encore à mettre en place pour l'exploiter au mieux.
La BNF conserve également les archives du Net.
Flickr / Julien carnot
Le langage courant les qualifie de « retraités », d’« expatriés », d’« entrepreneurs » ou de « binationaux » : pourtant les Français qui partent s’installer en Afrique sont aussi des « migrants ».
Manifestations d'étudiants à Alger, le 12 mars 2019, au lendemain de l'annonce du retrait d'Abdelaziz Bouteflika.
Ryad Kramdi/ AFP
Le regard sur la société civile, hors du champ politique, permet d’éclairer la situation et la capacité de la société algérienne à prendre les choses en main et à agir, quand le pouvoir n’agit pas.
Les femmes protestent à Istanbul pour le droit à l'avortement en 2012.
Reuters
Près de 80 % des femmes du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord vivent dans des pays où le droit à l’avortement est restreint. Un enjeu de santé publique.
Devant un bureau de change à Ankara, le 28 août 2018.
Adem Altan/AFP
La détérioration des relations entre Ankara et Washington et la concentration des pouvoirs aux mains du Président turc sont les principaux facteurs déclencheurs de la chute de la monnaie turque.
Manifestation en 2013, commémorant les événements de 2011 et le départ de la révolution ‘arabe’ à Tunis où les revendications féministes ont été particulièrement appuyées.
Amine Ghrabi/Flick
L’horizon de la parité successorale répond à un enjeu économique, s’inscrit dans une mutation sociale et prolonge la sécularisation du système juridique tunisien.
Antananarivo, capitale économique et politique de Madagascar, est particulièrement touchée par la précarité : 75 % des habitants vivent sous le seuil de pauvreté national.
Matt Biddulph/Flickr
Que faire des quartiers précaires et des bidonvilles ? Plutôt que de les raser, intégrer ces ensemble dans l’espace urbain semble être une alternative prometteuse.
Les soldats de Daech, photo extraite du documentaire Daech, naissance d'un État terroriste.
Alatele fr/Flickr
Ce manuel du parfait petit terroriste mérite qu’on lui accorde une attention particulière : non seulement il sacralise la haine généralisée, mais il annonce aussi tout ce que Daech a appliqué.
Un graffiti à Tunis rappelle aux passants l'un des principaux slogans entendus durant les manifestations de janvier 2018: « Fech Nestannew » en arabe tunisien, « Qu'attendons-nous ? »
Fethi Belaid/AFP
La corruption en Tunisie serait plus dangereuse que le terrorisme : l’inscription récente du pays à la liste noire de l’UE confirme que ce fléau endémique freine tout espoir de croissance.
Démenti de Al Azhar sur la toile en langue arabe, après la fake news diffusée en janvier, annonçant son intention de « retirer la Tunisie de la liste des pays musulmans. »
Les revendications marquent la capacité des citoyens tunisiens à prendre part à la vie politique, à manifester leur désaccord, à faire valoir leurs droits et à s’inscrire dans le changement.
Manifestation à Tebourba, le 9 janvier 2018.
Fethi Belaid/AFP
Sept ans après la chute de Ben Ali, le désespoir et la démoralisation des jeunes s’accompagnent d’une révolte dont les troubles récents en sont les manifestations les plus apparentes.
Mobilisations le 8 mars 2014 à Tunis.
FETHI BELAID / AFP
L'annonce du chef de l'État concernant la position des Tunisiennes quant à l'héritage s'inscrit dans un combat égalitaire plus vaste sur le plan sociétal et juridique, comme le mariage avec des non-musulmans.
Doctorant en sciences de l'information et de la communication au Crem, Université de Lorraine, Journaliste présentateur à France 24 et Rédacteur en chef adjoint, Université de Lorraine