Comprendre pourquoi certaines personnes sont plus sensibles à la douleur que d’autres permettrait de mettre au point des traitements personnalisés beaucoup plus efficaces.
La dépendance aux antidouleurs opioïdes touche toutes les catégories socio-économiques.
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Prévenir les risques d’addiction et d’overdose associés aux antidouleurs opioïdes en conservant un accès large à ces médicaments est un défi de santé publique dont il faut se préoccuper immédiatement.
Les médecins français prescriront peut-être un jour le cannabis comme d'autres antidouleurs. Reste à savoir sous quelle forme.
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En annonçant la création d’un groupe de travail sur l’usage médical du cannabis, l’ANSM lance officiellement la réflexion sur le sujet en France. Première indication possible : la douleur chronique.
Les enfants autistes ont besoin, comme les autres, d'être soignés pour des otites ou d'autres maladies (photo d'illustration).
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Mal suivies, les personnes n’ayant pas de langage verbal sont souvent victimes de complications ou hospitalisées. Un centre unique en France assure des consultations sur mesure.
La prescription d'activité physique peut améliorer la santé mentale des personnes touchées par des maladies chroniques, par exemple le cancer.
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La thérapie cognitive et comportementale est couramment proposée en cas de maladie chronique. De même l’activité physique adaptée. Les deux ont des effets prouvés contre l’anxiété ou la dépression.
Le cannabis thérapeutique peut être prescrit sous différentes formes, parmi lesquelles les gélules (photo d'illustration).
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L’usage médical du cannabis a été discuté récemment à l’Assemblée nationale. Il est temps de lancer une expérimentation, pour évaluer ses effets dans la douleur ou les souffrances liées au cancer.
Une tique Ixodes ricinus femelle, sur un brin d'herbe. Elle est le vecteur de la maladie de Lyme.
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Un nouveau protocole national est attendu pour le traitement de cette maladie transmise par les tiques. En dépit des incertitudes scientifiques, des améliorations sont possibles.
Certains neurones sensitifs adressent de mauvaises informations au cerveau, entraînant le phénomène de douleur chronique.
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Après un accident, une opération chirurgicale, un traitement contre le cancer, il arrive que la personne soit guérie mais continue à souffrir. Ce mécanisme vient d’être élucidé.
Les études scientifiques montrent qu'une activité physique suffisamment régulière et bien dosée contribue à lutter efficacement contre le cancer.
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De nombreuses études scientifiques permettent d’affirmer aujourd’hui que l’activité physique réduit les effets secondaires des traitements contre le cancer et renforce l’effet de certains.
Toutes les méthodes pour se soigner sans médicament ne se valent pas, comme le montrent les études scientifiques.
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Les études scientifiques montrent que toutes les méthodes pour se soigner sans médicament ne se valent pas. Les chercheurs s’attachent à les évaluer et même, à les comparer entre elles.
Certaines méthodes de yoga figurent parmi les interventions validées par les études scientifiques dans la lombalgie.
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La campagne nationale contre le mal de dos incite à ne pas rester inactif pour en guérir. Mais tous les mouvements ne se valent pas. Revue des méthodes validées par des études scientifiques.
Ancienne et nouvelle formule du levothyrox, un médicament notamment prescrit dans l'hypothyroïdie.
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Claude Hamonet, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Les effets observés avec le changement de formule de ce médicament pourraient être, chez certains patients, en lien avec un diagnostic d’hypothyroïdie erroné.
Chez certaines femmes, faire l’amour peut provoquer douleurs ou brûlures, au point d’y renoncer. Les causes de la dyspareunie sont généralement physiques et psychologiques. Et se soignent.
Des tensions excessives dans l'exercice de son métier peuvent être source de troubles musculo-squelettiques. Ici une infirmière aide un homme âgé à se lever.
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Les femmes sont plus exposées aux troubles musculo-squelettiques que les hommes. Mais elles ne font pas toujours le lien avec leur travail quand la douleur survient.
Parmi les médicaments les plus puissants contre la douleur, les patchs de fentanyl (à gauche), les comprimés de morphine (à droite).
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Les médicaments antalgiques les plus puissants sont à base d’opiacés. Ils font courir aux patients le risque de développer une addiction, d’où la nécessité de les utiliser avec vigilance.
Différentes sortes de cannabis à usage médical dans un dispensaire de Denver, aux États-Unis, en 2011.
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Aux États-Unis, de plus en plus d’états autorisent l’usage médical du cannabis. Pourtant, la recherche sur les effets de cette plante est encore balbutiante.
Le cerveau humain traite l’empathie – cette faculté à comprendre la douleur d’une autre personne – de la même manière que l’expérience de la douleur physique.
Dans le cas de douleurs chroniques, le patient peut se soigner lui-même en écoutant un morceau préféré.
Berna Namoglu
Professeur des universités, médecin hospitalier, Inserm 1107, CHU Clermont-Ferrand, Président de la Fondation Institut Analgesia, Université Clermont Auvergne (UCA)
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)