Le 24 juin à Perpignan, affiches électorales avant le second tour des élections municipales qui ont vu la victoire de Louis Alliot (RN).
RAYMOND ROIG / AFP
Le vote RN ne s’est pas construit dans les quartiers populaires mais autour d’eux, avec des sommets dans des zones aisées.
La présidente du Rassemblement national Marine Le Pen lors d'un meeting de soutien au candidat RN de Gavignac, en Gironde, le 8 février 2020.
Georges Gobet/ AFP
Le RN était en recul au premier tour des municipales et risque d’échouer dans sa tentative d’enracinement local. Mais les thèmes du parti résonnent toujours au niveau national et européen.
Marine Le Pen et Jordan Bardella (RN) lors du traditionnel hommage à Jeanne d'Arc devant sa statue à Paris le 1er mai 2020.
coronavirus). Alain JOCARD / AFP
En dépit des apparences, la montée en puissance de nombreuses thématiques chères aux partis d’extrême droite ou gauche ne semble pas leur bénéficier particulièrement en temps de crise.
Marine Le Pen (RN) avant un discours lors de la « Fête du drapeau » le 23 septembre 2018à Mantes-la-Ville.
Lucas BARIOULET / AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
La radicalisation autour de la mobilisation pourrait profiter à Marine Le Pen lors des élections présidentielles de 2022.
Le président de la République, René Coty, accueille le 23 décembre 1958 le président du Conseil, Charles de Gaulle, marquant le début de la Vᵉ république.
AFP
Notre époque subit directement les répliques de ce qui apparaît avec le recul comme les prémices d’un déclin crépusculaire du régime de la Vᵉ République.
Jean-Luc Mélenchon (ici, le 23 juin 2019, à Paris) a subi un échec cuisant lors des Européennes du 26 mai dernier.
Geoffroy Van Der Hasselt / AFP
Malgré tous ses efforts, la France insoumise ne parvient pas à capter les voix d'une frange de l'électorat populaire qui demeure ancré à droite politiquement et culturellement.
Hommage aux victimes à Christchurch, après l'attentat de mars 2019.
Wikipédia
François Rastier, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Inspiré par la métapolitique nazie, le thème du grand remplacement est à présent brandi par l’extrême droite internationale pour attiser les peurs et justifier les violences.
A Paris, le 27 mai 2019. Valérie Pécresse a annoncé qu'elle quitte les Républicains.
Jacques Demarthon / AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Il est grand temps de situer le présent dans l’histoire d’une mutation inaugurée il y a une cinquantaine d’années, et qui est loin d’être achevée.
Des manifestants portant des drapeaux allemands participent à un rassemblement organisé par le parti d'extrême droite allemand Alternative for Germany (AfD) le 1er mai 2019 à Chemnitz, dans l'est de l'Allemagne.
Hendrik Schmidt/AFP
Le nationalisme progresse en Europe, où de nombreux partis politiques sont hostiles à l’immigration. Mais quel rôle joue-t-elle dans leur succès ? La recherche met en évidence des nuances inattendues.
A Bruxelles, au soir du 26 mai 2019, devant le Parlement européen.
John Thys/AFP
Quels sont les points clefs de ce scrutin ? Et quel sera l’impact pour l’Union européenne de demain ?
Une pancarte avec le chancelier autrichien Sebastian Kurz (ÖVP) et le vice-chancelier Heinz - Christian Strache (FPÖ) barrés lors d'une manifestation contre le gouvernement autrichien actuel et pour une politique d'asile humaine à Vienne, le 13 janvier 2018.
Alex Halada / AFP
La puissance des populistes provient de leur capacité à imposer leurs thématiques, leur temporalité de l’urgence, la simplification de leurs argumentaires et leur mode d’agir.
Emmanuel Macron et le président du Conseil italien, Giusepe Conte, le 15 juin 2018 à Paris.
Ludovic Marin / AFP
La relation bilatérale pâtit de conjonctures nationales, mais aussi d’un vaste mouvement de recomposition des forces politiques à l’échelle continentale avant les élections européennes de mai.
A Paris, le 26 janvier 2019.
Zakaria Abdelkafi / AFP
Les résultats records des femmes lors du scrutin des midterms montrent que la parité politique est en train de devenir la norme aux États-Unis. Et la France ? Peut mieux faire !
Dans une rue de Nantes, le 29 décembre 2018.
Jean-François Monnier/AFP
Doit-on considérer que cette séquence est « une fable, racontée par un idiot, pleine de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien », ou au contraire lui trouver un sens profond ?
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Le mouvement des « gilets jaunes » a accepté et compris que la violence peut être éventuellement le prix à payer pour exister et exercer une forte pression sur le pouvoir.
Sur les Champs-Elysées, le 8 décembre 2018.
Lucas Barioulet / AFP
Une minorité, même très mobilisée, même bénéficiant d’un soutien de l’opinion publique, ne peut pas se substituer à la majorité et effacer les résultats des élections.