La pâtisserie française, forte de trois siècles de tradition et de pratiques, a accédé ces dernières années au statut de produit de luxe, et créé de nouveaux codes.
Après la prise de contrôle de Twitter par Elon Musk en octobre 2022, beaucoup s’inquiètent de la réapparition des comptes nationalistes qui avaient été suspendus auparavant.
Les médias traditionnels comme les réseaux sociaux sont les théâtres d’affrontements verbaux dont la violence reflète celle des vrais champs de bataille.
Une récente étude confirme que les jeunes n’adoptent pas les mêmes réflexes et usages d’information que leurs aînés, ce qui génère une incompréhension des adultes allant jusqu'aux clichés injustes.
Marian-Andrei Rizoiu, University of Technology Sydney and Philipp Schneider, EPFL – École Polytechnique Fédérale de Lausanne – Swiss Federal Institute of Technology in Lausanne
Une recherche démontre les avantages du délai de 24 heures accordé aux plates-formes pour retirer un contenu haineux prévu dans le récent « Digital Services Act » européen.
La plateforme X délègue désormais une partie de la lutte contre la désinformation à ses utilisateurs et utilisatrices, les plaçant en première ligne. Cette stratégie n’est pas exempte de dérives.
Kristen Choi, University of California, Los Angeles
À force d’être exposés à des médias violents et aux représentations que ces médias véhiculent, les enfants peuvent développer une vision déformée du monde, perçu comme un endroit dangereux et hostile.
Depuis quelques années, les athlètes de haut niveau s’emparent des plates-formes comme Instagram ou TikTok pour changer la perception du public sur l’image traditionnellement véhiculée.
Si les usages numériques des plus jeunes suscitent des inquiétudes, ils ont aussi un intérêt relationnel, permettant dans le cas des enfants placés d’ajuster la relation à distance ou de se retrouver.
L’augmentation de la désinformation sur X est notamment attribuable à une stratégie d’Elon Musk qui vise à museler les chercheurs qui tentent de l’étaler au grand jour.
Quelque 150 chaînes Telegram, très suivies en Russie, racontent au quotidien la guerre en Ukraine, avec un point de vue très nationaliste… parfois trop pour le Kremlin lui-même.
Propagation de fausses informations, ébranlement de la confiance en les médias et les institutions, incitation à des comportements violents : les théories du complot ont des conséquences bien réelles.
L’essor des algorithmes est aujourd’hui favorisé par une fascination pour la technologie qui éclipse les enjeux d’impact sociaux et environnementaux des outils.
Si la presse, la radio et la télévision en Russie sont désormais aux ordres du pouvoir, le régime peine encore à contrôler totalement le segment russe de l’Internet.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School