Une compagnie de transport a fait passer un porte-conteneurs par la « Route Maritime Nord » début septembre. Ce qui ne va pas dire que l’emprunt de cette voie va se généraliser dans l’immédiat.
Donald Trump, au cimetière militaire américain de Suresnes, près de Paris, le 11 novembre 2018.
Christian Hartmann /AFP
Marie-Cécile Naves, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Les États-Unis débutent la deuxième saison d'une série télévisée marquée par les codes de la téléréalité, qui, a accompagné son ascension vers le pouvoir suprême.
Manifestation à Zagreb, le 20 octobre 2018, contre le projet de réforme des retraites.
AFP
La vague d’émigration massive qui touche toute l’Europe balkanique depuis une dizaine d’années bouleverse les équilibres locaux et obère le futur de ces pays déjà en grande difficulté.
Le 11 novembre 1918, jour de l'amistice, quelque part en France.
fidber/Flickr
« Grande guerre », ou « guerre mondiale » ? Le décalage de terminologie chez les belligérants de 14-18 recouvrait une différence de vision géopolitique.
A Rio, le 28 octobre 2018, un partisan du nouveau président Jair Bolsonaro brandit un cercueil symbolique du Parti des Travailleurs.
Mauro Pimentel/ AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
La gauche est en perdition, si l’on en juge par les scores électoraux. Le phénomène est mondial, mais cela ne veut pas dire qu’il revête partout le même sens, ou les mêmes formes.
Le 5 octobre 2013, une gerbe de fleurs était lancée en mer, en hommage aux morts de la baie de Lampedusa, après le naufrage d'un bateau emmenant plus de 300 personnes originaires d'Afrique sub-saharienne.
AFP
Laure Assaf, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Comme la présence de morts, en grand nombre, affecte-t-elle toute une société ? Entretiens croisés de Lampedusa, en Italie, à Sokol, en Russie.
Même les plus reconnus des universitaires peuvent, par idéologie, omettre ou brouiller les informations contribuant à une meilleure analyse de phénomènes complexes. Université de Columbia.
InSapphoWeTrust/Flickr
Pierre Guerlain, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
La lutte contre les fake news implique de prendre en compte l’impossible partialité des producteurs de savoirs, médias de qualité et universitaires, ainsi que le montre l’émergence de Trump.
Justin Trudeau à la tribune de l'Assemblée générale des Nations unies, à New York, le 21 septembre 2018.
Timothy A. Clary/AFP
La position nationaliste de Trump s’applique a priori à tous les sujets relevant de la concertation multilatérale, et de ce fait hypothèque la notion même de « communauté internationale ».
Viktor Orban au Parlement européen de Strasbourg, le 11 septembre 2018.
Frederick Florin/AFP
La guerre dure depuis maintenant quarante ans en Afghanistan, et les talibans sont prêts à la prolonger. Une résilience qui s’explique aussi par les erreurs des Occidentaux.
Les trolls russes sont les maîtres de la « neutrollisation » de l'info.
Soumil Kumar/pexels
Lors de la finale de la Coupe du monde en Russie, la Présidente croate a fait le show à coups de chaleureuses démonstrations. Mais chez elle, en Croatie, elle arbore un tout autre visage.
Dans quelle mesure un parieur sportif peut-il contester sur tapis vert le résultat d’un match entaché d’une faute non sanctionnée qui lui aurait fait perdre son pari ?
A Bruxelles, lors du match Belgique-Brésil, le 7 juillet 2018.
Nicolas Maeterlinck/AFP
Dominique Bodin, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC) and Luc Robène, Université de Bordeaux
La compétition est double : sur le terrain et dans les tribunes. Le problème posé aux organisateurs peut se résumer ainsi : comment conserver l’esprit festif et assurer le contrôle social ?
L'immeuble du Rana Plazza, à Dacca (Bangladesh), en mai 2013.
rijans/Wikimedia
Chloé Maurel, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Le traité en préparation entend imposer aux multinationales des sanctions concrètes en cas de manquement aux droits de l’homme ou d’atteintes à l’environnement ou aux droits des peuples.
A Sotchi, l'une des villes hôtes du Mondial 2018, le 12 juin dernier.
Jewel Samad / AFP
Que Kaliningrad apparaisse accueillante aux supporters durant quatre matches est souhaitable. Mais cela ne suffira pas à faire cesser le « Grand Jeu » que se livrent les puissances dans la zone.
Au siège des Nations unies à Genève, la salle où se réunit le Conseil des droits de l'Homme.
Ludovic Courtès/Wikimedia
L’abandon (sans doute momentané) par les États-Unis d’un comité chargé de mettre en œuvre un texte dont ils sont l’origine marque aussi ce constat d’une dérive qui a commencé dans les années 80.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School
Professeure des universités en études russes et soviétiques, Université de Rennes 2, chercheuse au CERCLE (Université de Lorraine), Université Rennes 2
Post-doctorant au Centre d'études sociologiques et politiques Raymond Aron (EHESS), Docteur en science politique associé au Centre de recherche Europes-Eurasie (CREE) de l'INALCO, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Docteur en Études slaves contemporaines : spécialiste de la géopolitique de la Russie et du sport, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières