L'homme d'affaires Mohammed Mohiedin Anis. 70 ans, fume sa pipe, assis dans sa chambre et écoutant un vinyle. La photo, prise en 2013 à Alep, dans l'ancien quartier rebel al-Shaar, a fait le tour du monde.
Joseph Eid/AFP
Le Hezbollah est devenu incontournable au Liban et au-delà. Comment ce parti, tiraillé entre une base populaire, des velléités néolibérales et un Iran interventionniste se dessine-t-il dans la région ?
Devant le Bataclan, à Paris, le 12 novembre 2016, jour de sa réouverture un an après les attentats de Paris.
François Guillot/AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
S’il était présomptueux de claironner l’annonce de la décomposition du terrorisme islamique, l’image de fortes inflexions s’impose.
Prière collective le vendredi 20 octobre en hommage aux 276 morts et 300 blessés, victimes de l'attaque terroriste à Mogadiscio le 14 octobre. Le terrorisme est devenu une arme globale.
Mohamed Abdiwahab/AFP
Le terrorisme contemporain prend racine dans une forme de violence politique datant de la Révolution française. Ancré dans des faits sociaux, il évolue désormais à l’échelle planétaire.
Jour de vote à Erbil, le 25 septembre 2017.
Ahmed Deeb / AFP
Dans cette partie du monde, chaque individu s’identifie d’abord par sa langue, par son ethnie ou par sa confession, tandis que la citoyenneté vient en second lieu.
Des badauds suivent le tir d'un missile balistique sur écran, à Pyongyang, le 16 septembre dernier.
Kim Won-Jin / AFP
La dissuasion d’aujourd’hui n’est plus seulement celle du fort doté de N têtes nucléaires, face à des acteurs inférieurs. Elle se décline sur au moins cinq modes.
A Téhéran, lors des funérailles des attaques du 7 juin 2017.
Atta Kenare / AFP
Didier Chaudet, Institut français d'études sur l'Asie centrale
Pour Téhéran, le danger djihadiste est au cœur des prises de décision sécuritaires depuis plusieurs années. La République islamique mène sa propre « guerre contre le terrorisme » sur deux fronts.
Deux tanks détruits devant une mosquée à Azaz, dans le nord-ouest de la Syrie, en 2012.
Christiaan Triebert/Wikimedia
Le conflit qui déchire la Syrie trouverait sa source dans l’exode rural, lui-même causé par la sécheresse. Le lien entre ces trois événements est pourtant loin d’être si évident.
Le Président Macron à son arrivée en Autriche, le 23 août.
Betrrand Guay / AFP
Que faire en Syrie ? Assad doit-il partir ? Une intervention militaire sans mandat de l’ONU serait-elle responsable ? Voici onze questions qui permettent de mieux appréhender la situation.
Le président syrien Bachar El-Assad (à gauche) et le président turc, Recep Tayyip Edorgan (à droite), en juin 2010, à Istanbul.
Osman Orsal/AFP
La Turquie, qui voulait renverser le président syrien, a de bonnes relations commerciales avec Damas. Elle est le premier exportateur vers la Syrie et parmi les premiers importateurs de biens syriens.
Volk-2 russe piloté à distance.
Crédit : Vitaly V. Kouzmin / Wikipedia
S’il vivait aujourd’hui, Sun Tzu aurait orienté son ouvrage « L’art de la guerre » vers la stratégie de conflits où se mêleront bientôt simples soldats, combattants augmentés et machines autonomes.
Porte de la Chapelle, à Paris (juillet 2017).
STRINGER / AFP
L’impact des réfugiés dans l’économie du pays accueillant est-il positif ou négatif ? La vraie question est en réalité tout autre : l’économie peut-elle vraiment se passer des réfugiés ?
La bataille de Mossoul marque-t-elle la « défaite » de l’État islamique, comme s’aventurent à le conjecturer les plus optimistes ? Rien n’est moins sûr.
Vue sur le siège de la Cour pénale internationale de La Haye (Pays-Bas).
OSeveno/Flickr
La toile de fond des déclarations du Président Macron demeure éminemment libérale : défense du multilatéralisme, de l’Europe, d’agendas de sécurité humaine ou du libre-échange.
Ce qu'il reste de la mosquée Al-Nuri, à Mossoul (le 29 juin 2017).
Ahmad Al-Rubaye / AFP
Au-delà des explications sociologiques et politiques, la guerre est l’occasion d’une expérience sensible du monde qui attire les êtres en attente de « réparation existentielle ».
Des réfugiés syriens sur le rivage de la ville de Dbayeh au nord de Beyrouth. Quel avenir leur réserve le Liban ?
Patrick Baz/AFP
La France comme moteur de l’Europe doit discuter plus que jamais avec la Russie, mais elle ne le fera bien qu’en montrant sa résolution entière sur les dossiers de la Syrie et de l’Ukraine.
Drapeaux européens et polonais brandis lors de la marche pour la liberté à Varsovie, le 6 mai 2017.
Janek Skarzynski/AFP
L’effondrement du système mondial et la capacité des pays autoritaires à en définir l’ordre du jour font de la défense de la liberté l’enjeu géopolitique premier, inséparable de notre sécurité.