Michel Viso, Centre national d’études spatiales (CNES)
Cette photographie nous renseigne sur le soin apporté au rover concernant sa propreté, à la fois pour assurer au mieux ses missions, mais aussi pour éviter de contaminer Mars avec de la vie terrestre.
D’après ce que nous savons actuellement sur la densité des radiogalaxies géantes dans le ciel, la probabilité d’en trouver deux dans cette région du ciel est extrêmement faible.
Dans les dix prochaines années, l’essor des petits satellites entraînera un changement de paradigme dans le secteur, notamment en termes de collecte et de traitement des données.
Plusieurs agences spatiales visent à envoyer de nouveau des humains sur la Lune. Coopération et compétition géostratégiques et économiques au programme.
Un nouveau président va arriver à la Maison Blanche et un nouvel administrateur à la NASA. Quels changements peut-on anticiper dans la politique spatiale américaine ?
La conquête de l’espace se renouvelle, et nous sommes à la croisée de deux chemins : celui d’une responsabilité commune et partagée et celui d’un individualisme débridé et profiteur.
La poussière de l’astéroïde Ryugu devrait nous aider à mieux comprendre la formation du système solaire, entre origine de l’eau sur Terre et origine de la matière carbonée.
Retour sur la carrière de Françoise Combes, où l’on évoquera la matière, l’antimatière mais aussi les énergie et matière noires. Bref, la plupart des mystères de l’univers.
La régulation ou le marché, l’action publique internationale ou la logique du profit peuvent-ils permettre d’empêcher la saturation des orbites et de nettoyer les débris existants ?
La canicule qui a frappé la Sibérie en juin aurait été impossible sans le changement climatique, qui a multiplié par au moins 600 les risques de chaleur prolongée dans cette partie du globe.
Professeur des Universités, Exobiologiste au Laboratoire Atmosphères Modélisaton et Observations Spatiales (LATMOS), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay