Le mouvement en cours en Biélorussie attend du pouvoir un respect effectif de la Constitution. Cette conquête d’un État de droit fonctionnel est sans doute le prélude à des changements plus profonds.
Céline Bayou, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Voisine de la Biélorussie, la Lituanie soutient avec enthousiasme les opposants à Alexandre Loukachenko et cherche à entraîner les autres États de l’UE à sa suite.
Désarçonné par l’ampleur du mouvement de contestation qui exige son départ et perdure malgré la répression qu’il a déclenchée, le président Loukachenko va-t-il lâcher du lest ?
L’explosion de mécontentement de la population du Bélarus après la récente présidentielle a pris de court l’inamovible dirigeant autoritaire Alexandre Loukachenko.
La campagne électorale en vue de la présidentielle qui se tiendra en Biélorussie le 9 août prochain est marquée par une contestation croissante du président Loukachenka, au pouvoir depuis 1994.
Céline Bayou, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Sa centrale nucléaire permettra au Bélarus de produire assez d’électricité pour assurer sa consommation intérieure et même pour en exporter. Mais cette perspective ne réjouit pas tous ses voisins…
Dans l’impossibilité de se représenter, à l’issue de son quatrième mandat en 2024, Vladimir Poutine pourrait nourrir l’ambition de devenir le président d’une « confédération russo-biélorusse ».
Situées aux marges de l’UE, la Turquie et la Biélorussie présentent deux fonctions stratégiques, celles de réunification et d’articulation des ensembles à la jonction desquels elles se situent.
David Teurtrie, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Quels rapports la Russie entretient-elle avec ses voisins russophones et sa diaspora ? Ces derniers jouent un rôle crucial dans les ambitions du Kremlin.
Quelles ont été les conséquences de Tchernobyl pour la santé des populations, et tout d’abord, celles exposées aux radiations ? Le sujet fait débat mais voici ce que l’on peut en dire aujourd’hui.
Sangliers, cerfs, loups et élans on été repérés en grand nombre dans la « zone d’exclusion », ces quelques 4750 km² qui environnent l'ancien site de la centrale nucléaire.