Jaroslaw Kaczynski, leader du pari Droit et Justice, très à droite de l'échiquier politique polonais, et en tête des intentions de vote.
Wojtek Radwanski/AFP
En répondant à un sentiment tenace d'insécurité chez ses nouveaux alliés, l'OTAN prend un risque calculé : celui d'attiser les tensions avec la Russie.
La pride du 20 juillet à Bialystok, à l'est de la Pologne a donné lieu à des violences.
Jerzy Baliski / AFP
Les autocollants ‘anti LGBT’ qui sont apparus en Pologne fin juillet participent d'un même terreau haineux, où les ultra-conservateurs retournent le discours victimaire à leur avantage.
Matteo Salvini, le 27 mai 2019, à Milan, après l'annonce des résultats aux Européennes.
Miguel Medina / AFP
Dans les discours, les symboles et les images, Matteo Salvini est déjà omniprésent. Mais dans les négociations qui s’engagent, il jouera le rôle d’un challenger pas d’un leader.
Le vote pour renouveler le Parlement européen a lieu entre le 23 et 26 mai 2019.
parsucco/Pixabay
Quels sont les points clefs de ce scrutin ? Et quel sera l’impact pour l’Union européenne de demain ?
Le Président Emmanuel Macron et sa femme Brigitte Macron accueillis par l'évêque Helmut Dieser à la cathédrale d'Aachen, le 10 mai 2018, avant la remise du prix Charlemagne.
Ludovic Marin/AFP
La puissance des populistes provient de leur capacité à imposer leurs thématiques, leur temporalité de l’urgence, la simplification de leurs argumentaires et leur mode d’agir.
La COP24 a accueilli les représentants de 197 pays à Katowice en Pologne, du 3 au 15 décembre.
Janek Skarzynski/AFP
À Katowice, la COP24 s’est contentée de « sauver » (partiellement) l’accord de Paris, sans adapter ses ambitions à l’urgence climatique pointée par le GIEC en octobre.
Une participante de la COP sur le départ à Katowice.
Janek Skarzynski/AFP
Élaboré dans l'indifférence, ce Pacte fait l'objet d'une intense politisation et de polémiques virulentes. Pourtant, il suffit de le lire pour se rendre compte du caractère modéré de son contenu.
Mettre à disposition des pays les plus vulnérables 100 milliards par an pour s’adapter au changement climatique.
Shutterstock
Les pays du Nord se sont engagés à verser 100 milliards par an à ceux du Sud pour les aider à faire face au changement climatique. Mais la comptabilité de cette aide présente de sérieuses lacunes.
Montage montrant les différences d’impact entre un réchauffement global moyen à 1,5 °C et à 2 °C.
Giec
Faut-il, face à la vague populiste-nationaliste, jouer la partition de la cohésion européenne à tout prix, ou bien appeler un chat un chat et aller au clash avec Varsovie ou Budapest ?
Plus d’un quart du territoire néerlandais se situe sous le niveau de la mer.
Daria/TaskArmy.nl/Unsplash
La décision du 9 octobre 2018 dans l’affaire Urgenda aux Pays-Bas confirme la vitalité du mouvement de la justice climatique en Europe et dans le monde.
A Rio, le 28 octobre 2018, un partisan du nouveau président Jair Bolsonaro brandit un cercueil symbolique du Parti des Travailleurs.
Mauro Pimentel/ AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
La gauche est en perdition, si l’on en juge par les scores électoraux. Le phénomène est mondial, mais cela ne veut pas dire qu’il revête partout le même sens, ou les mêmes formes.
Bruxelles envisage de réduire les montants consacrés à la réduction des divergences économiques lors du prochain cycle budgétaire. Certains pays recevront toutefois plus que lors du dernier exercice.
Marian Weyo/Shutterstock
Certains pays d’Europe du Sud toucheront davantage de fonds européens de cohésion jusqu’en 2027, tandis que l’enveloppe va se réduire pour les États d’Europe centrale. Des décisions très politiques.
Emmanuel Macron le 29 septembre sur l'île de Saint-Martin.
Thomas Samson/AFP
Seize mois après la stupéfiante élection de 2017, le macronisme est-il malade de Macron lui-même qui ne serait pas à la hauteur des espérances qu’il a suscitées ?
Viktor Orbán a mis au jour les divisions internes au sein du Parti populaire européen.
PPE/Flickr
Après ce vote, les groupes parlementaires européens, les partis nationaux, les gouvernements et même les électeurs devront trancher : pour ou contre l’accueil des migrants ?
Maître de conférences en Science politique, membre de l'Institut des sciences sociales du politiques (ISP, CNRS), Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Professeur des universités à l'Inalco, Paris, spécialiste de littérature et de civilisation polonaise/s, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)