Eve Pouliot, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) and Danielle Maltais, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Les jeunes sont beaucoup moins à risque de mourir de la Covid-19, mais ils peuvent craindre pour leur santé ou celle de leurs proches, ce qui peut exacerber un état d’anxiété préexistant.
Au-delà des effets sur le développement psychique, les souffrances de l’enfance semblent associées à bon nombre de troubles métaboliques et de maladies chroniques de l’adulte.
La pandémie de Covid-19 a modifié ce qui fait notre mode de vie et notre culture. D'où l'intérêt d'aborder les actuels problèmes de santé mentale au prisme de la psychologie inter-culturelle.
Stress, fatigue, angoisse et irritabilité : les enseignants du primaire et du secondaire sont passés par toute une gamme d’émotions depuis le début de la pandémie.
De récentes recherches sur la croissance du cerveau pourraient contribuer à expliquer pourquoi les problèmes de santé mentale apparaissent souvent à l'adolescence.
« En Thérapie » nous donne à voir au fond comme message subliminal la fragilité et même la porosité des limites là même où elles devraient nous être garanties.
La pop star américaine fait l’objet depuis plusieurs années d’une mesure de tutelle dont ses fans demandent la levée. En quoi consistent les mesures judiciaires en lien avec la santé mentale ?
Sur le plan du logement et de la manière dont on conçoit le passage à l’âge adulte, comment comprendre en quoi la pandémie ébranle profondément les étudiants ?
À la base des demandes d’aide médicale à mourir, il y a un problème de santé incurable. Mais il n’est pas possible de prédire qu’une maladie mentale ne s’améliorera pas.
Élaborée par des psychologues américains, l’« acceptance and commitment therapy », ou ACT, vise à moins lutter contre les souvenirs douloureux, et à œuvrer pour une vie plus en accord avec ses valeurs.
Les taux élevés de maladies mentales chez les jeunes montrent l’urgence de mettre en place des soins de santé mentale accessibles, abordables et soutenus par la recherche.
Spécialiste des jeunes anorexiques, ce médecin a dû changer profondément, durant la pandémie, sa pratique basée sur l'accueil, la rencontre, l'observation, le questionnaire et l'examen physique.
Nancy Brassard, École nationale d'administration publique (ENAP)
Lorsqu’on gère un événement difficile, comme l’actuelle crise sanitaire, le courant électrique qui régit notre cerveau s’en trouve modifié. Des techniques permettent de mieux réguler notre humeur.
Anne-Claude Ambroise-Rendu, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
À partir des années 1970, les affaires d’inceste trouvent de plus en plus d’écho médiatique, révélant la souffrance des victimes. Paradoxalement, chaque nouvelle affaire semble provoquer la stupeur.
Chercheur en sciences sociales et épistémologie de la santé mentale au Centre de recherche médecine, sciences, santé, santé mentale, société (CERMES3), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)