Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2016», l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « La climatologie simple comme 2+2=4 » par Matthieu Brachet.
Oubliez serpents et araignées, il y a une phobie plus redoutable encore : la peur des trous, ou trypophobie. Ses victimes éprouvent angoisse et dégoût devant des images aux propriétés particulières…
Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2016 », l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « Adopte un kétoprofène » par Mahjouba Ben Nasr.
Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2016 », l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « Le high-tech pour les old school » par Siavash Atarodi.
Comment le cerveau a-t-il conscience de la rougeur du rouge ? La recherche de ce qui, dans les neurones, est associé à l’expérience consciente est un des sujets les plus chauds des neurosciences.
Martin Andler, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Avec sa théorie de l’information, Claude Shannon a fait naître la modernité, structurée en briques de base « 0-1 ». Quatrième article de notre série « Les mathématiques en partage ».
En vous couchant le 30 mars, n’oubliez pas de retarder d’une heure votre montre, si elle n’est pas connectée : depuis plus de 40 ans, nous passons ainsi à l’heure d’été. Pourquoi, et qui la met en œuvre ?
Malgré une attention nouvelle portée au problème de la parité, les carrières des femmes scientifiques sont à la traîne. Il est crucial d’être vigilants pour combattre les préjugés, conscients ou non.
La « Big Science » et ses emblématiques équipements scientifiques – tels les synchrotrons – est un bel objet d’étude pour le sociologue. Un article en collaboration avec la revue Mondes sociaux.
Comment dégoûter le public de la science, et, encore plus fort, s’arranger pour se perdre soi-même dans sa démonstration laborieuse et jargoneuse ? Suivez les conseils de Michael J. I. Brown.
Martin Andler, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Les mathématiciens sont des écrivains ! Leurs textes révèlent personnalités et engagements. Premier article de présentation d’une série autour des conférences « Un texte, un mathématicien ».
La création dans un accélérateur de particules d’éléments chimiques « superlourds » qui n’existent pas dans la nature passionne les scientifiques. Quatre viennent d’être découverts. D’autres suivront.
Venues de plusieurs champs scientifiques, des propositions visent à rendre plus transparent le travail du chercheur sur ordinateur. Logiciels libres et méthodes collaboratives servent la science.
L’ordinateur personnel a révolutionné la science. Pratique pour le chercheur, il rend aussi plus obscur le processus par lequel la découverte s’organise. Reproduire les résultats devient une gageure.
La théorie de l’évolution vit une révolution : éclipsé par Darwin, Jean-Baptiste Lamarck, et son idée d’hérédité des caractères acquis, est conforté par les découvertes de l’épigénétique.
En grec, son nom signifie « amateur de rosée au ventre noir ». C’est elle, la mouche drosophile, qui volète autour de la corbeille à fruits. C’est aussi un modèle animal très apprécié des biologistes.
Moins religieux mais plus moraux, plus à gauche, largement anticapitalistes…Une étude auprès des chercheurs français décryptent leur opinions et valeurs. Pas forcément celles de tout le monde.
Certes les éditeurs ne font pas toujours leur travail. Mais les chercheurs eux-mêmes, par leurs motivations affichées ou cachées, ont une grosse responsabilité.
Professeur émérite au département et laboratoire de mathématiques (UMR CNRS 8100), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay