Dans ce nouvel épisode, Albert David (Paris-Dauphine) et Armand Hatchuel (Mines ParisTech) interviennent sur les thèmes des rationalités créatrices et de la nouvelle entreprise.
Cette notion introduite dans la loi Pacte permet aux entreprises de se doter indirectement d’un nouvel argument pour résister aux éventuelles tentatives d’OPA hostiles.
Plus que l’État ou les joueurs, ce sont les actionnaires historiques qui détiennent une part réduite du capital qui ont le plus à perdre en cas de fin du monopole.
Retrouvez les invités de Jean‑Philippe Denis, professeur à l’Université Paris-Sud et rédacteur en chef de la RFG. À la une cette semaine, « l’entreprise et le droit : où en est-on ? »
Retrouvez les invités de Jean‑Philippe Denis, professeur à l’Université Paris-Sud, Paris-Saclay et rédacteur en chef de la RFG. À la une cette semaine, « la nouvelle doctrine de Bercy ».
La création d’un pôle infrastructures incluant des entreprises de transport structurellement bénéficiaires pourrait permettre de réconcilier les objectifs étatiques de court et long terme.
Si les activités en freelance permettent d’améliorer le sentiment de bien-être professionnel, elles peuvent aussi être source de dégâts sur l’individu.
Xavier Hollandts, Kedge Business School and Nicolas Aubert, IAE Aix-Marseille Graduate School of Management – Aix-Marseille Université
Les dispositions visant à favoriser la participation des salariés aux bénéfices qui figurent dans la loi Pacte seront débattues à la Haute assemblée en janvier.
La gouvernance des entreprises subit tout un ensemble de mutations qui font que les directions sont parfois amenées à les conduire de manière insoutenable.
Malgré ses succès, le dirigeant de Renault était contesté pour ses méthodes. Son arrestation, le 19 novembre au Japon, relance le débat sur le système de gouvernance des entreprises françaises.
Depuis les débuts de l’Investissement socialement responsable en France, l’État donne l’impulsion puis se retire du marché. Il revient aujourd’hui dans le jeu avec la loi Pacte.
La prise en compte des enjeux sociaux et environnementaux dans la mission de l’entreprise est loin d’être une révolution. La nouveauté, c’est plutôt le pouvoir renforcé des actionnaires.
Michel Capron, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Le texte, voté à l’Assemblée nationale début octobre, n’éclaire pas sur ce que devraient être les finalités d’une société en tant que personne morale. C’était pourtant le point le plus attendu.
Les objectifs de croissance et de réduction du chômage semblent avoir pris le pas dans les débats sur la contribution de l’entreprise à la vie de la cité : une évolution qu’il est possible de corriger.
En l'état, le projet de loi PACTE apparaît en décalage avec les recommandations du rapport Notat-Senard, qui déplorait la domination de l'économie sur le social dans l'entreprise.
La modification de son objet social a des effets à long terme sur l’entreprise et sur ses parties prenantes (salariés et clients notamment). C’est ce que révèlent des recherches menées aux États-Unis.
Le nouveau patron de Danone, Emmanuel Faber, vient d’annoncer qu’il allait donner une action à tous ses salariés. Que faut-il en penser ? Analyse de l’actionnariat du groupe et de sa vulnérabilité.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Chercheur associé au Laboratoire d’économie dyonisien et à l’Institut de Recherche en Gestion, Université Paris-Est, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)