Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2017 », l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « Derrière le masque » par Patrick Noukpo.
Mathilde Cazot, « Electrons : attrapez-les tous ! ».
Peb&Fox/Université de Lorraine
Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2017 », l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « Électrons : attrapez-les tous ! » par Mathilde Cazot.
Florian Liétard, « Des chiffres, euh, des lettres ».
Peb&Fox/Université de Lorraine
Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2017 », l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « Des chiffres, euh, des lettres » par Florian Liétard.
Marie-Claudine Haumont-Sautereau, « Le coup de blues du businessman ».
Peb&Fox/Université de Lorraine
Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2017 », l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « Le coup de blues du businessman » par Marie-Claudine Haumont-Sautereau.
Marie-Astrid Dutoit, « Chroniques de l’asphalte ».
Peb&Fox/Université de Lorraine
Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2017 », l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « Chroniques de l’asphalte » par Marie-Astrid Dutoit.
Brunelle Marche, « Démêlage de filière ».
Peb&Fox/Université de Lorraine
Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2017 », l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « Démêlage de filière » par Brunelle Marche.
Hugo Gattuso, « Quand l’ADN fait BOUM !».
Peb&Fox/Université de Lorraine
Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2017 », l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « Quand l’ADN fait BOUM ! » par Hugo Gattuso.
Anne Blanchart, « l’agronome des villes »
Peb&Fox/Université de Lorraine
Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2017 », l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « L’agronome des villes » par Anne Blanchart.
La dernière adaptation de « Ghost in the Shell », n’est pas un remake de l’anime de 1995, lequel n’est pas non plus « l’œuvre originelle » qui aurait inspiré le long-métrage.
Parc Astérix : le petit Gaulois seul sur un menhir.
Martin Lewison/Flickr
Avec la sortie du troisième tome de leur BD, François Durpaire et Farid Boudjellal continuent l’histoire d’un temps futur, quand Marine Le Pen rejoint la vague de populistes au pouvoir.
La décrépitude de Logan est le symptôme d’une crise profonde de l’imaginaire héroïque, qui ronge les USA depuis la chute du mur de Berlin et, plus encore, depuis les attentats du 11 septembre 2001.
« Sur la piste du Marsupilami », une adaptation audacieuse d'Alain Chabat, en 2012.
Chez Wam – Nicolas Guiraud
La transposition de BD au cinéma consiste à considérer l’œuvre originale comme une marque et comporte des opportunités pour les éditeurs de bande dessinée ainsi que pour les producteurs de films.
Au festival d’Angoulême, une exposition célèbre l’auteur américain Will Eisner, considéré comme le père du « roman graphique ». Que recouvre cette étiquette si largement diffusée ?
Le concours de « cosplay » de Geekopolis, én 2014.
Stéphane Gallay/Flickr
Fabrice Raffin, Auteurs historiques The Conversation France
Plongée dans le monde des conventions « geeks », où s’inventent des sociabilités et des esthétiques originales, selon une réappropriation active des codes de l’industrie culturelle.
Dans le tome 2 de La Présidente, la France a connu un quinquennat bleu marine.
Arenes.fr
La France de 2022 sera-t-elle totalitaire ? Le 2ᵉ tome du roman graphique signé François Durpaire et Farid Boudjelall est un exercice de politique-fiction qu’il s’agit de prendre au sérieux.
La relation des lecteurs avec la BD a-t-elle à voir avec une inconsolable nostalgie des héros de l’enfance ? L’analyse d’un auteur et professeur de bande dessinée.
L’exposition Hergé au Grand Palais s’inscrit dans une tradition ancienne, celle des expositions de bande dessinée, mais qui, depuis une dizaine d’années, connaît une vogue nouvelle. Analyse.
Paysage typique d’œuvre du genre fantasy.
RL Fantasy/Flickr
Les phénomènes de mode littéraires et cinématographiques sont aussi le reflet des préoccupations sociales, à travers l’exemple de la portée écologique de l’imaginaire féerique.
Dessin : Fred Boot. Encrage : Soutch. Couleur : Dr_Folaweb.
La bande dessinée francophone a fondé sa légitimité sur l’édition de livres. Face au numérique, les enjeux sont grands à renouer avec la portée populaire de cette forme narrative subversive.
Assistant Professor of Arab Crossroads Studies and Anthropology , NYU Abu Dhabi, chercheuse associée LESC, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières