Même si elle est moins populaire qu’auparavant, l’Union européenne reste une promesse dans ce petit pays coincé entre la Roumanie et l’Ukraine.
Les pro-Européens protestent contre la coalition au pouvoir, le Parti social-démocrate (PSD), à côté de l'Athénée roumain, lors de la cérémonie de prise de la présidence du Conseil de l'UE à Bucarest le 10 janvier 2019.
Daniel Mihailescu/AFP
La relation bilatérale pâtit de conjonctures nationales, mais aussi d’un vaste mouvement de recomposition des forces politiques à l’échelle continentale avant les élections européennes de mai.
Une manifestante pro-UE devant le Parlement britannique à Londres, le 15 janvier 2019.
Oli Scarff / AFP
Peut-on encore rêver d’une utopie politique européenne ? Si l’Union est une réalité dans le quotidien des citoyens, son contenu et sa forme restent l’objet de perceptions multiples et contradictoires.
La nouvelle politique européenne marque un virage vers une transparence accrue.
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La récente réforme du règlement intérieur du Parlement européen vise à favoriser la transparence. Les activités de lobbying sont directement concernées.
Le projet d'accord négocié par la première ministre Theresa May et Bruxelles a été rejeté massivement par les députés britanniques le 16 janvier dernier.
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Des économistes du CEPII estiment qu’en cas de non-accord, les PIB du Royaume-Uni et de l’Union européenne pourraient respectivement reculer de 2,8 % et 0,8 %.
Matteo Salvini, le ministre de l'Intérieur, en novembre 2018, juché sur un bulldozer qui s'apprête à raser des maisons construites illégalement à Rome.
Filippo Monteforte AFP
Populaire et controversé, le leader de la Ligue surfe sur le discrédit qui frappe les partis traditionnels et le besoin de protection exprimé par la population.
Le pacte de stabilité de la zone euro empêche de répondre à l'ensemble des revendications des « gilets jaunes ».
Stefano Spicca/Shutterstock
Les revendications des « gilets jaunes » illustrent une nouvelle fois le manque de pédagogie de l’exécutif sur le respect des contraintes liées à l’appartenance de la France à la zone euro.
Theresa May, le 13 décembre, à Bruxelles, avec ses pairs européens.
Emmanuel Dunand / AFP
Sans autorité, sans soutien et face à l'exaspération ailleurs en Europe: le cauchemar de Theresa May va se poursuivre pendant cette période de Noël.
A Rio, le 28 octobre 2018, un partisan du nouveau président Jair Bolsonaro brandit un cercueil symbolique du Parti des Travailleurs.
Mauro Pimentel/ AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
La gauche est en perdition, si l’on en juge par les scores électoraux. Le phénomène est mondial, mais cela ne veut pas dire qu’il revête partout le même sens, ou les mêmes formes.
Le soir des élections en Hesse, les chefs de file des principaux partis en grande discussion à la télévision.
Oliver Dietze/AFP
Le réveil de l’extrême droite en Saxe et Saxe-Anhalt confronte l’Allemagne à un phénomène minimisé depuis des années, celui de la radicalisation de l’extrême droite néonazie.
Viktor Orbán a mis au jour les divisions internes au sein du Parti populaire européen.
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Après ce vote, les groupes parlementaires européens, les partis nationaux, les gouvernements et même les électeurs devront trancher : pour ou contre l’accueil des migrants ?
Viktor Orban au Parlement européen de Strasbourg, le 11 septembre 2018.
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Ni gaulliste ni bonapartiste, le macronisme révèle un mode « corporate » d’exercice du pouvoir, qui se nourrit du modèle organisationnel des grands groupes privés.
Angela Merkel et Emmanuel Macron à Mesberg (Allemagne), le 19 juin 2018.
Ludovic Marin/AFP
Si rien en Europe ne peut se faire contre l’Allemagne et la France, il n’est pas assuré dans le contexte européen d’aujourd’hui que le tandem franco-allemand ait la force d’entraînement requise.
Luigi Di Maio (à g.), ministre du Travail et de l'Industrie, et Matteo Salvini, ministre de l'Intérieur, sont aussi chefs de file respectifs des mouvements populistes M5S et Ligue du Nord.
Alberto Pizzoli / AFP
L’alliance des populistes Ligue du Nord et M5S a donné naissance en Italie à un gouvernement eurosceptique. Quels risques sa politique économique fait-elle courir à l’Italie et à la zone euro ?
Giuseppe Conte, le 31 mai à Rome, à la veille de sa nomination au poste de chef de gouvernement.
Tiziana Fabi/AFP
La dernière crise politique en Italie montre combien le lien de ce pays fondateur du Marché commun a changé en profondeur vis-à-vis de l’Europe.
Luigi Di Maio (à gauche), avec l'avocat et membre de son parti, le Mouvement 5 étoiles, Giuseppe Conte, pressenti pour le poste de Président du Conseil.
Filippo Monteforte/AFP
Une alliance contre-nature, mais conforme au message des électeurs, se met en place à la tête de l’Italie, rassemblant le Mouvement 5 étoiles et la Ligue.