Manon Aubry, eurodéputée et tête de liste de « La France Insoumise » (LFI) pour les élections européennes, aux côtés du député et coordinateur du parti LFI Manuel Bompard, à la fin d’un meeting à Montpellier le 14 avril 2024.
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Mise en suspens par le scrutin proportionnel européen, la question de l’union à gauche ne manquera pas d’être à nouveau posée par la perspective des scrutins nationaux – celui de 2027 en tête.
De nombreux partis qui présentent des candidats aux élections européennes de juin 2024 sont critiques des institutions européennes.
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La montée des populismes est-elle inéluctable en Europe ? Peut-elle transformer l'UE après les élections de juin prochain ? Le sociologue Michel Wieviorka livre son analyse.
L'urgence climatique est régulièrement invoquée pour justifier la relance du nucléaire.
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L’urgence climatique justifie-t-elle la relance du nucléaire en France ? Les réponses ne sont pas les mêmes pour le nucléaire historique et pour les nouveaux réacteurs.
La secrétaire du Parti démocrate Elly Schlein, ici lors d’un discours lors d’une manifestation de l’opposition au gouvernement Meloni à Rome sur la Piazza del Popolo le 11 novembre 2023.
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La droite au pouvoir et l’opposition de gauche s’interrogent encore sur la stratégie à adopter en vue des élections de juin prochain.
Sur la scène internationale, l’UE semble bien faible face aux grandes puissances. L’année qui s’ouvre pourrait être décisive pour acter son déclin ou, au contraire, son rétablissement.
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Confrontée à la montée des partis eurosceptiques à l’intérieur et aux pressions russes, chinoises et américaines à l’extérieur, l’UE pourra-t-elle connaître un sursaut salvateur ?
En France, en Italie, au Portugal, en Autriche, en Belgique, en Espagne ou en Finlande, les formations d’extrême droite (ici Giorgia Meloni au Parlement européen) s’installent au cœur du jeu politique.
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Malgré tous ses efforts, la France insoumise ne parvient pas à capter les voix d'une frange de l'électorat populaire qui demeure ancré à droite politiquement et culturellement.
Le futur probable premier ministre de Sa Majesté, Boris Johnson, le 4 juillet 2019, en visite de terrain dans le nord-est de l'Angleterre.
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Frédérique Berrod, Sciences Po Strasbourg – Université de Strasbourg
Après trois ans de tergiversations et de négociations infructueuses, l’horizon est en passe de se dégager au Royaume-Uni. Et c’est l’option d’un scénario dur qui émerge.
Jean-Luc Mélenchon, à Paris, le 23 juin 2019. Les élections européennes ont été une vraie déception pour lui.
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Comment comprendre cette chute libre, qui rappelle étrangement celle intervenue aux élections européennes de mai 2014, à l'époque du Front de gauche ?
Des manifestants portant des drapeaux allemands participent à un rassemblement organisé par le parti d'extrême droite allemand Alternative for Germany (AfD) le 1er mai 2019 à Chemnitz, dans l'est de l'Allemagne.
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Le nationalisme progresse en Europe, où de nombreux partis politiques sont hostiles à l’immigration. Mais quel rôle joue-t-elle dans leur succès ? La recherche met en évidence des nuances inattendues.
Le premier ministre hongrois Viktor Orban à son arrivée pour un sommet des chefs de gouvernement à Bruxelles, le 28 mai 2019.
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Ramona Coman, Université Libre de Bruxelles (ULB) e László Andor, Université Libre de Bruxelles (ULB)
Sans grande surprise, Viktor Orban est le grand gagnant des élections européennes de mai 2019. Mais l’opposition progresse à Budapest et dans plusieurs régions du pauy.
A Ajaccio, le 13 mai 2019.
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Électoralement, tout se passe comme si le mouvement des « gilets jaunes » n’avait jamais eu lieu : il est impossible d’en trouver une trace dans les résultats du scrutin de dimanche.
Matteo Salvini, le 27 mai 2019, à Milan, après l'annonce des résultats aux Européennes.
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Dans les discours, les symboles et les images, Matteo Salvini est déjà omniprésent. Mais dans les négociations qui s’engagent, il jouera le rôle d’un challenger pas d’un leader.
Le dirigeant des Verts, Yannick Jadot, au soir du scrutin européen, le 26 mai 2019, à Paris.
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La réussite des Verts lors des élections européennes signifie-t-elle que, désormais, l’écologie politique tiendra ce rang de « troisième parti » de France dans les élections à venir ?
Vue de l'intérieur du Parlement européen à Bruxelles, le 26 mai 2019, transformé en salle de presse géante.
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Avec le nouveau Parlement, on se rapproche de la situation d’un Parlement national avec une majorité et une opposition : une majorité pro-européenne face à un ensemble de partis eurosceptiques.
Yannick Jadot (EELV), Nathalie Loiseau (Renaissance), Rafaël Glucksmann ( Place publique), Manon Aubry (France insoumise) et François-Xavie Bellamy (Les Républicains), le 9 avril, lors d'un débat télévisé.
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La question sociale n’est pas évacuée comme le sous-entend le discours du « ni gauche ni droite ». Or c’est bien elle qui a toujours structuré le clivage gauche-droite.
A Bruxelles, au soir du 26 mai 2019, devant le Parlement européen.
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En France, comme à l’échelle européenne, le « duopole » constitué par les socialistes et les démocrates-chrétiens a définitivement vécu.
Près de 400 millions d'Européens de 28 pays sont appelés aux urnes jusqu'à dimanche pour élire les membres du parlement européen.
Le taux d'abstention est souvent élevé, et des campagnes encouragent les citoyens à aller voter, comme ici à la station de métro Luxembourg, à Bruxelles.
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Les élections européennes sont souvent perçues comme de seconde importance par les électeurs, et souvent l’occasion de voter « avec son cœur » ou « avec ses pieds ».
A Milan, le 18 mai 2019. Un Matteo Salvini moins sûr de lui qu'il n'y paraît.
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Au lieu de servir de marchepied vers son hégémonie politique en Italie, cette élection européenne pourrait bien marquer l’amorce d’un nouveau cycle, moins pour le dirigeant de la Ligue.