Thomas Szende, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Premier ministre de la Hongrie depuis dix ans, le très controversé Viktor Orbán puise, au moins partiellement, sa popularité auprès de ses concitoyens dans un discours savamment réfléchi.
La banque centrale européenne, en charge de la politique monétaire de la zone euro, a pour objectif principal de maintenir le pouvoir d'achat et donc la stabilité des prix.
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L’UE s’est montrée décevante dans sa réponse à la crise des dettes souveraines et au tournant autoritaire de la Hongrie et de la Pologne. Saura-t-elle mieux faire face au Covid-19 ?
Manifestation célébrant le quinzième annversaire de l'entrée de la Pologne dans l'Union européenne, Varsovie, le 18 mai 2019.
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Contrairement à ce qui avait parfois été annoncé, le Brexit n’a pas incité les opinions publiques des 27 États membres de l’UE à réclamer un « Exit » de leur propre pays. Au contraire, même.
Andrej Babis, le premier ministre de la République tchèque, aurait bénéficié de plus de 40 millions d’euros de subventions en 2018.
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Ramona Coman, Université Libre de Bruxelles (ULB) e László Andor, Université Libre de Bruxelles (ULB)
Sans grande surprise, Viktor Orban est le grand gagnant des élections européennes de mai 2019. Mais l’opposition progresse à Budapest et dans plusieurs régions du pauy.
«Soutenez le programme de Viktor Orban: stop à l'immigration!»: une affiche dans la ville de Csorna (à l'ouest de Budapest), le 25 avril 2019.
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Le Fidesz s’annonce comme le grand gagnant de ces élections européennes en Hongrie face à une opposition faible et fragmentée et à une presse dont l’indépendance est menacée ou restreinte.
Le vote pour renouveler le Parlement européen a lieu entre le 23 et 26 mai 2019.
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La puissance des populistes provient de leur capacité à imposer leurs thématiques, leur temporalité de l’urgence, la simplification de leurs argumentaires et leur mode d’agir.
Chose vue sur le mur séparant le Mexique des États-Unis.
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Élaboré dans l'indifférence, ce Pacte fait l'objet d'une intense politisation et de polémiques virulentes. Pourtant, il suffit de le lire pour se rendre compte du caractère modéré de son contenu.
Emmanuel Macron et Viktor Orban, à Salzbourg (Autriche), le 20 septembre 20218, lors d'un sommet informel de l'UE.
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Faut-il, face à la vague populiste-nationaliste, jouer la partition de la cohésion européenne à tout prix, ou bien appeler un chat un chat et aller au clash avec Varsovie ou Budapest ?
Bruxelles envisage de réduire les montants consacrés à la réduction des divergences économiques lors du prochain cycle budgétaire. Certains pays recevront toutefois plus que lors du dernier exercice.
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Certains pays d’Europe du Sud toucheront davantage de fonds européens de cohésion jusqu’en 2027, tandis que l’enveloppe va se réduire pour les États d’Europe centrale. Des décisions très politiques.
Emmanuel Macron le 29 septembre sur l'île de Saint-Martin.
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Seize mois après la stupéfiante élection de 2017, le macronisme est-il malade de Macron lui-même qui ne serait pas à la hauteur des espérances qu’il a suscitées ?
Viktor Orbán a mis au jour les divisions internes au sein du Parti populaire européen.
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Après ce vote, les groupes parlementaires européens, les partis nationaux, les gouvernements et même les électeurs devront trancher : pour ou contre l’accueil des migrants ?
Viktor Orban au Parlement européen de Strasbourg, le 11 septembre 2018.
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L’Union européenne demande aux États et aux citoyens d’être davantage solidaires entre eux, sans jamais définir précisément le contenu et les limites de cette solidarité, ni surtout son objectif.
Le premier ministre Viktor Orban, le 8 avril, lors des législatives en Hongrie.
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Viktor Orban, loin de chercher à casser la construction européenne, agit de façon à la faire sortir du courant des Lumières dans lequel elle s’inscrit depuis 1950.
Le Président Macron à Bruxelles, le 22 mars 2018.
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Reportée en raison des attentats terroristes de Trèbes du 23 mars dernier, la « Grande Marche européenne » souhaitée par Emmanuel Macron doit débuter ce samedi 7 avril, en France et dans 26 pays.
Le premier ministre sortant et favori de l'élection du 8 avril, Viktor Orbán (ici le 15 mars, à Budapest).
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Le bouillant premier ministre candidat Viktor Orban ne résume pas à lui seul la politique hongroise : ce pays est aujourd’hui face à trois grands défis que la prochaine législature devra affronter.
Le Brexit n’entraîne ni effet domino ni déconstruction de l’UE. Les habituelles Cassandres de l’Europe devraient se focaliser sur le risque « d’orbanisation » de l’UE.