L'extrême facilité du variant Omicron a contaminé les individus pousse à renforcer les précautions (supporters masqués lors du match de rugby Bordeaux-Bègles- Biarritz, 2 janvier 2022).
Romain Perrocheau / AFP
Valérie Pernelet-Joly, Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses)
Il est désormais bien établi que le virus du Covid se transmet par voie aérienne. Comment s'en prémunir ? Voici les moyens simples d’évaluer et minimiser au maximum les risques.
Dans les rues de Biarritz, le 27 juillet 2020.
Gaizka Iroz / AFP
Il a été dit qu’une fois adapté à l’être humain, le SARS-CoV-2 deviendrait « avirulent ». Mais pour quiconque a quelques notions en biologie de l’évolution, il est permis d’en douter.
Le protocole de fermeture de classe dès détection d’un cas positif n’est pas optimal.
Martin Bureau / AFP
On comprend désormais mieux le rôle joué par les plus jeunes dans la pandémie. Comment utiliser ces connaissances pour limiter les contaminations dans les écoles sans pénaliser les élèves ?
Des clients attendent de passer un test Covid-19 avant d'entrer dans une boîte de nuit à La Grande Motte, le 10 juillet 2021. Alors que le variant Delta, plus contagieux, se répand dans le pays, la vigilance reste plus que jamais de rigueur.
Sylvain Thomas/AFP
Le variant Delta circule sur la majorité du territoire. On le sait plus transmissible que le variant alpha, qui l’était lui-même plus que le coronavirus « historique ». Que sait-on d’autre ?
Une nouvelle étude a identifié plusieurs régions de l’ADN associées au risque de développer une forme sévère de Covid-19, comme ce patient soigné dans le service de réanimation de l'hôpital Louis Pasteur à Colmar.
Sébastien Bozon / AFP
Un effort international sans précédent a permis d’identifier des régions du génome associées à la susceptibilité à l’infection par le SARS-CoV-2 et au risque de développer une forme grave de Covid-19.
Lors des promenades en forêt, mieux vaut porter des vêtements couvrants de couleur claire, pour mieux repérer les tiques.
Steffan Mitchell / Unsplash
Tout le monde a déjà entendu parler de la maladie de Lyme. Mais saviez-vous qu’il existe de nombreuses espèces de tiques en France, et qu’elles propagent d’autres maladies, dont certaines émergentes ?
Du calme, amis humains ! Je ne vais pas déclencher la prochaine pandémie.
Firn / Shutterstock
Le risque que des coronavirus franchissent la barrière d’espèce est faible. Mais si l’on en cherche, on en trouve malgré tout.
Un médecin s’enquiert de l’état d’un patient Covid-19 atteint de mucormycose, une infection fongique mortelle rare, à l'hôpital NSCB de Jabalpur, le 20 mai 2021.
Uma Shankar Mishra / AFP
Des milliers de patients indiens convalescents du Covid-19 sont frappés par une grave infection fongique souvent mortelle, la mucormycose. De quoi s’agit-il, et pourquoi une telle flambée ?
Le génome du coronavirus est constitué de 30 000 « lettres », ce qui signifie qu’il existe une quantité énorme de mutations possibles. Mais inutile de paniquer pour autant.
Cette effigie géante du coronavirus SARS-CoV-2 est destinée à être brûlée dans le cadre du Holika Dahan, durant lequel est conduit au bûcher le démon Holika, à la veille des célébrations de Holi, une populaire fête hindoue.
Sujit Jaiswal/AFP
Une des principales préoccupations concernant l’émergence de variants du coronavirus SARS-CoV-2 concerne le risque qu’ils puissent échapper à l’immunité induite par les vaccins, y compris ceux à ARN.
Une rue de Chicago sous le soleil.
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En regard des mesures de santé publique prises pour contrôler l’épidémie, l’effet de la météo sur la transmission du coronavirus SARS-CoV-2 est très probablement négligeable.
La saga des masques a rythmé les premières semaines de la pandémie. Un an plus tard, avec l’émergence de variants plus transmissibles, lesquels vaut-il mieux utiliser ?
Sur le tarmac de l’aéroport de Toulouse-Blagnac, un patient atteint par la Covid-19 est transféré d'un avion médicalisé à un hélicoptère dans le cadre de son évacuation depuis Nice, où les unités de soins intensifs sont surchargées en raison de l’épidémie, le 16 mars 2021.
Lionel Bonaventure / AFP
Un an après le premier confinement, l’épidémie sévit toujours, le ballet des transferts de patients a repris. Comment s’explique cette accélération ? Que penser des mesures annoncées le 18 mars ?
Des soignants s'occupent d'un patient infecté par le coronavirus SARS-CoV-2, dans le service de réanimation à l'hôpital Ambroise Paré de l'AP-HP, à Boulogne-Billancourt, près de Paris, le 8 mars 2021.
Alain Jocard / AFP
Gilles Pison, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) e France Meslé, Ined (Institut national d'études démographiques)
Depuis le début de l’épidémie, le SARS-CoV-2 a fait près de 90 000 décès dans notre pays selon le décompte de Santé publique France. Comment cette situation se traduit-elle en termes de surmortalité ?
Un enfant attend dans la cour de son école avant d’entrer dans sa classe, à Dortmund, en Allemagne, le 22 février dernier. Partout dans le monde, les effets du SARS-CoV-2 sur les enfants ont été particulièrement surveillés.
Ina Fassbender / AFP
Alors que l’épidémie de SARS-CoV-2 a entraîné des dizaines de milliers de décès d’adultes dans notre pays, les enfants n’ont été que très peu touchés par ce nouveau coronavirus.
Des promeneurs portant des masques de protection déambulent sur les quais de la Seine, le 10 janvier 2021 à Paris.
Alain Jocard / AFP
Encore inconnu voici à peine plus d’un an, le coronavirus SARS-CoV-2 a profondément bouleversé nos sociétés. Que savons-nous de lui, et que nous reste-t-il à apprendre pour espérer le dompter ?
A l'hôpital Saint-Louis à Paris.
Martin Bureau/AFP
Gilles Pison, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) e France Meslé, Ined (Institut national d'études démographiques)
Un an après le début de l’épidémie de Covid-19, le coronavirus SARS-CoV-2 a fait 90 000 victimes en France. Ce chiffre est-il comparable aux épidémies de grippes qui frappent chaque hiver notre pays ?
Un patient s'inscrit pour un test salivaire de dépistage du coronavirus SARS-CoV-2, à Saint-Etienne, le 22 février 2021, dans le cadre de la seconde campagne de dépistage de masse de la ville.
Jean-Philippe Ksiazek / AFP
Benjamin Roche, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Un an après le début de la pandémie, plusieurs variants du SARS-CoV-2 ont émergé, menaçant de changer le visage de la pandémie. Pourquoi maintenant ? Comment répondre à cette menace ?
Chaque professionnel de santé vérifie le bon état des combinaisons de protection de ses collègues.
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Ebola a déclenché une nouvelle épidémie en Guinée. Face à cette flambée, les pays d’Afrique de l'Ouest sont mieux préparés qu’ils ne l’étaient sept ans en arrière.
Des policiers distribuent des kits de dépistage des coronavirus aux habitants de Maidstone, dans le Kent, dans le sud-est de l'Angleterre. Le Royaume-Uni s’appuie fortement sur le séquençage dans sa stratégie de lutte contre l’épidémie.
Ben Stansall/AFP
Samuel Alizon, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Le séquençage est un outil précieux pour identifier les mutations et suivre les épidémies. Pourtant, contrairement à d’autres pays, face au SARS-CoV-2 la France l’a peu utilisé. Pourquoi ?
Directeur de Recherche au CNRS et directeur de l'équipe Écologie et Évolution de la Santé au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CIRB) UMR CNRS 7241 – U1050 Inserm – Collège de France, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Professeur, département Méthodes quantitatives en santé publique (METIS), Univ. Rennes, EHESP, CNRS, Inserm, Arènes - UMR 6051, RSMS – U 1309, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses, laboratoire PCCEI (Univ. Montpellier, Inserm, EFS) & CHU Nîmes, Université de Montpellier
PU-PH, Professeur de Pédiatrie, Inserm UMR 1069 "Nutrition, Growth Cancer" & Inserm F-CRIN PEDSTART, Institut Européen de l'Histoire et des Cultures de l'Alimentation,Université de Tours, CHU de Tours, Inserm
Professeur des Université en pédiatrie, chef du service de pédiatrie générale et des urgences pédiatriques, hôpital Mère Enfant, CHU Nantes, Université de Nantes