Le confinement a un impact sur la faune -pour le meilleur et pour le pire. Les bénéfices obtenus par un retrait des humains sont inégalement répartis entre les espèces.
Micrographie électronique à balayage colorée d’une cellule gravement infectée par des particules du virus SARS-CoV-2.
(The National Institute of Allergy and Infectious Diseases/Flickr)
La recherche fondamentale permet d'éclairer ce que nous savons sur les coronavirus. Nous connaîtrons d'autres épidémies, il est donc crucial de poursuivre et de développer ce type de travail.
Des travailleurs dirigent des clients alignés dans un centre communautaire pour des dons de nourriture à Montréal-Nord, le quartier le plus touché du Québec par la Covid-19, le 30 avril. C'est aussi l'un des quartiers les plus pauvres au pays.
La Presse Canadienne/Paul Chiasson
Les épidémies révèlent les inégalités tolérées en temps « normal » mais qui auront ont un impact délétère sur la santé d'une population si des mesures ne sont pas prises pour compenser ces injustices.
Il est difficile de lire ou de déchiffrer le langage corporel et les micro-expressions sur l’écran d’un téléphone intelligent.
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À mesure que la distanciation sociale s'installe, nous intégrons de plus en plus les communications en ligne dans notre vie sociale. Mais elles ne compensent pas le langage corporel ou le toucher.
Des bénévoles de Résilience Montréal donnent de la nourriture et de l'aide aux sans-abri, le 27 mars à Montréal.
La Presse Canadienne/Ryan Remiorz
S’il est certain que l’entraide est essentielle en temps de crise, et que des élans de solidarité ont émergé, une question persiste : pourquoi les réseaux d’entraide bénévoles n’ont-ils pas suffi?
En ce qui concerne les observations sur terre, l’Organisation météorologique mondiale (OMM) compte sur des données prises par plus de 10 000 stations en surface, 1000 stations aérologiques et 3000 aéronefs commerciaux, entre autres.
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L’Organisation météorologique mondiale (OMM) a tiré la sonnette d’alarme en raison de l’impact de la pandémie sur les données d’observations qui alimentent les modèles de prévision météorologique.
À Jakarta, en Indonésie, les lumières de cet hôtel ont été allumées de façon à ce que sur sa façade se dessine un cœur, symbole de soutien, de gratitude et d'amour pour le personnel médical, en première ligne dans la lutte contre la pandémie de Covid-19.
Rifqi Riyanto/INA/AAP
Les démocraties telles que les États-Unis, l’Italie et l’Espagne ou l’Indonésie n’ont pour l’instant pas réussi à contrôler la propagation du coronavirus à l’origine de l’épidémie de Covid-19.
La chancelière allemande Angela Merkel prononce un discours lors d'une réunion du Parlement fédéral allemand, le Bundestag, à Berlin, le 23 avril. L'Allemagne a su gérer la crise du coronavirus mieux que ses voisins.
AP Photo/Michael Sohn
Les qualités de gestion dites féminines seraient plus garantes du succès d’une organisation ou de la bonne marche d’un État, avec ou sans situation de crise.
Capture d'écran de la vidéo d'Eric Muraille à propos de l'origine du SARS-Cov-2.
Un nouveau format dans The Conversation : des vidéos de scientifiques, eux aussi en confinement, pour toujours éclairer le débat. Que sait-on de l’origine du virus ?
Une rue de Dortmund (Rhénanie-du-Nord-Westphalie), le 20 avril 2020.
Ina Fassbender/AFP
Benjamin Morel, École Normale Supérieure Paris-Saclay – Université Paris-Saclay; Alexis Fourmont, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne e Benoît Vaillot, Université de Strasbourg
La décentralisation est parfois présentée, dans les débats actuels, comme la panacée en matière d’organisation de la lutte contre la pandémie de Covid-19. Cette idée doit toutefois être nuancée.
Sur cette photo de décembre 2019, on voit des personnes masquées à Hong Kong lors d'un rassemblement pour soutenir les Ouïghours et leur lutte pour les droits de la personne en Chine.
AP Photo/Lee Jin-man
Dans les mois à venir, la Chine aura le pouvoir de nommer ou non des enquêteurs mondiaux de l'ONU sur la liberté d'expression, les disparitions forcées, la détention arbitraire et la santé.
Devra-t-on montrer “téléphone blanc” pour prouver qu'on n'est pas malade ?
Indivar Kaushik / Unsplash
Si de nombreux essais cliniques sont lancés contre le Covid-19, plusieurs obligations réglementaires doivent cependant être respectées, dans l’intérêt des malades se prêtant à l’expérimentation.
Deux travailleurs de la construction gardent leurs distances pendant leur pause déjeuner à Montréal, le 20 avril 2020. Mais le lien social perdure.
La Presse Canadienne/Paul Chiasson
Si l’incertitude règne en ce temps de confinement mondial, elle semble coexister avec la croyance, partagée par un grand nombre, que le monde ne sera plus le même après cette catastrophe sanitaire.
Détail du tryptique « Le Jugement dernier » de Jérôme Bosch, Musée Groeninge, Bruges.
PXhere
Les grands textes monothéistes montrent qu’un discours sur la fin des temps appliqué à l’épidémie désigne facilement le péché comme cause des catastrophes sanitaires.
Des passants à Paris, le 16 avril 2020.
Eric Piermont/AFP
L’application StopCovid suscite de nombreux débats qui portent aussi bien sur son efficacité que sur sa légalité et les atteintes aux libertés publiques que pourrait provoquer sa généralisation.
Kristalina Georgieva, la directrice générale du Fonds monétaire international, prononce un discours lors d'une conférence co-organisée par le FMI sur le développement durable et la dette à Diamniadio (Sénégal), le 2 décembre 2019.
Seyllou/AFP
Marin Ferry, Institut de recherche pour le développement (IRD); Babacar Sène, Université Cheikh Anta Diop de Dakar e Marc Raffinot, Université Paris Dauphine – PSL
La prépondérance des créanciers privés dans la dette publique extérieure pèse sur le budget des États africains et complique la lutte contre le Covid-19.
Rue Mouffetard, Paris, le 19 avril 2020.
François Guillot/AFP
Face au Covid-19, de nombreuses stratégies ont été mises en œuvre dans divers pays étrangers. Dans quelle mesure sont-elles applicables en France, et quelles en sont les implications juridiques ?
Directeur de Recherche au CNRS et directeur de l'équipe Écologie et Évolution de la Santé au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CIRB) UMR CNRS 7241 – U1050 Inserm – Collège de France, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses, laboratoire PCCEI (Univ. Montpellier, Inserm, EFS) & CHU Nîmes, Université de Montpellier
Maître de Conférences (HDR) à Sorbonne Université, ISYEB - Institut de Systématique, Evolution, Biodiversité (CNRS, MNHN, SU, EPHE, UA), Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)