Valérie S. Langlois, Institut national de la recherche scientifique (INRS); Julien Gigault, Université Laval; Raphaël Lavoie, Institut national de la recherche scientifique (INRS) e To Tuan Anh, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Une récente étude montre que la grande majorité des microplastiques retrouvés dans le fleuve Saint-Laurent proviennent de fibres textiles.
Si beaucoup d’espèces sont adaptées à l’intermittence naturelle des cours d’eau, le changement climatique perturbe cet équilibre en amplifiant les périodes de sécheresse et les crues.
Mieux comprendre les interactions entre la forêt boréale et la neige permet d’améliorer les modèles hydrologiques assurant ainsi une gestion optimale de la ressource.
Là où eaux douces et salées se rencontrent, l’environnement est complexe. Des études de terrains permettent de mieux comprendre comment ces zones sont affectées par les humains.
Fabien Verniest, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) e Isabelle Le Viol, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
La protection des zones humides joue un rôle clé dans l’adaptation des oiseaux au changement climatique. Pourtant, nombre d’entre elles ne sont toujours pas protégées.
Dans le massif du Jura, l’impact du réchauffement climatique sur la pollution des eaux par les nitrates impose de renforcer les mesures limitant les rejets d’azote.
Audrey R. Giles, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Sofia Pantano, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa e Umerdad Khudadad, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Les cours de natation ont été suspendus et les piscines fermées durant la pandémie. À cela s’ajoute une pénurie de maîtres-nageurs, ce qui rendra les activités aquatiques plus risquées cet été.
Thierry Lafon, Centre national d’études spatiales (CNES)
L’eau est une des ressources les plus importantes de notre planète, mieux connaître son cycle et ses réserves est indispensable pour la gérer au mieux.
Pour réduire et prévenir les dommages provoqués par les moules zébrées, il faut comprendre que les activités anthropiques sont la cause première de ces invasions biologiques.
En France, on connaît le débit de nos rivières, mais dans la plupart des pays, il faut développer une nouvelle méthode basée sur les observations satellitaires.
Les fleuves français charrient dans leurs eaux encore trop d'azote et de phosphate qui, une fois déversés en mer, contribuent au phénomène d'eutrophisation des eaux marines côtières.
Le programme d’aide pour les victimes d’inondation transfère une bonne partie des coûts vers les sinistrés. On peut se demander si elle encouragera la relocalisation et la diminution du risque.
Alain Geffard, Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA)
Les effets secondaires des médicaments sur l'homme sont bien référencés. Des cours d'eau artificiels permettent désormais de les mesurer sur les écosystèmes fluviaux. Plongée en eaux contaminées.
Comprendre le cycle côtier du plastique permettrait de mieux évaluer le volume des déchets présents dans l’eau et sur la plage afin de lutte plus efficacement contre ce phénomène dramatique.
Certains polluants subsistent dans l’eau malgré les traitements appliqués en station d’épuration. La technologie « électrochimique sans-fil » permet de mieux traiter les eaux polluées.