Collot Julien, Université de Bretagne occidentale ; David Baratoux, Institut de recherche pour le développement (IRD); Pierre-Yves Le Meur, Institut de recherche pour le développement (IRD) e Sarah Samadi, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
L’exploration est l’un des moteurs de la science et même sur notre planète, il nous reste tellement à découvrir !
Un bateau de pêche entouré de mouettes.
TTshutter/Shutterstock
Les États ont l’obligation juridique de protéger les océans face aux effets du changement climatique. C’est la conclusion d’un avis historique rendu par le Tribunal international du droit de la mer.
Coraux profonds dans le golfe de Gascogne.
Ifremer, ChEReef 2021
La plate-forme « Espions des Océans » lancée en 2023 par l’Ifremer permet à chacun d’annoter des images des fonds marins pour en identifier la faune et la flore… et faire progresser la recherche.
Paysage sonore sous-marin : sources naturelles et anthropiques. Illustration de Siegrid Design pour le projet (S)E(A)SCAPE.
Sortir de la pêche industrielle requiert de repenser complètement la chaine de valeur, du pêcheur à la distribution. Cela nécessite aussi de nouvelles formes de coopération entre les acteurs.
Des tonnes de plastique se retrouvent chaque année dans les mers et les océans.
Naja Bertolt Jensen / Unsplash
Noémie Coulon, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
C'est un constat qui alarme, car on a longtemps pensé que ces espèces s'acclimateraient, ayant survécu à des périodes passées aux concentrations atmosphériques de CO2 bien plus élevées qu'aujourd'hui.
Sur le papier, l’idée semble bonne, mais dans les faits, son potentiel est moins prometteur qu’imaginé. En tout cas, la méthode ne se substituera jamais à une baisse drastique de nos émissions.
Les bernard-l'ermite utilisent de plus en plus le plastique (et d'autres déchets) pour se protéger.
metamorworks/Shutterstock
Après Plastic Bertrand, Plastic Bernard ? Les bernard-l’ermite élisent normalement domicile dans des coquilles vides, mais optent de plus en plus souvent pour des déchets plastiques.
Rien qu'en Atlantique nord-est, près de 200 000 fûts de 200 litres de déchets radiacatifs ont été immergés, et n'ont pour l'heure toujours pas été récupérés.
Shutterstock
Nicolas Pauthe, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Depuis 1993, l’immersion de déchets radioactifs en mer est interdite. Mais que faire des déchets jetés auparavant dans les océans ?
Les toxines issues de la pollution s’accumulent dans le corps des épaulards par l’intermédiaire des petits poissons qu’ils consomment.
(Audun Rikardsen)
L’accumulation de polluants synthétiques dans la graisse des orques nuit à la santé de ces mammifères marins. Il est urgent d’agir pour résoudre ce problème.
L’apnée est un modèle physiologique précieux pour explorer les limites humaines.
Les bénéfices physiologiques observés chez les apnéistes pourraient avoir des applications dans d’autres sports mais aussi pour mieux comprendre certaines pathologies.
Cheminées du site hydrothermal de.
TAG (Atlantique), photographiées lors de la mission HERMINE en 2017.
Ifremer
Les sites hydrothermaux des grands fonds marins sont encore peu connus. Ils sont en effet très difficiles d’accès, et leur détection nécessite l’emploi coordonné de plusieurs outils et instruments.
La côte hawaïenne est déserte en prévision de l'arrivée de vagues de tsunami causées par le séisme au Japon en mars 2011. Quand les distances sont plus courtes, des systèmes d'alerte automatisés peuvent permettre de gagner quelques secondes.
Lucy Pemoni/AFP
Séismes et glissements de terrain sous-marins peuvent déclencher des tsunamis. Pour alerter les populations plus rapidement, de nouvelles méthodologies sont à l’étude.
Envie de piquer une tête ?
Mahmud Hasan.Designpoint3/Shutterstock
Combiné à la montée du niveau de la mer, ce phénomène qu’on appelle subsidence peut avoir des conséquences dramatiques mais reste trop peu étudié dans la région.
Une baleine échouée sur une plage de Sarzeau, en Bretagne.
FRED TANNEAU AFP