Valérie S. Langlois, Institut national de la recherche scientifique (INRS); Julien Gigault, Université Laval; Raphaël Lavoie, Institut national de la recherche scientifique (INRS) e To Tuan Anh, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Une récente étude montre que la grande majorité des microplastiques retrouvés dans le fleuve Saint-Laurent proviennent de fibres textiles.
Coraux profonds dans le golfe de Gascogne.
Ifremer, ChEReef 2021
La plate-forme « Espions des Océans » lancée en 2023 par l’Ifremer permet à chacun d’annoter des images des fonds marins pour en identifier la faune et la flore… et faire progresser la recherche.
Port de phosphate abandonné à Aiwo, sur l’île de Nauru dans le Pacifique.
Mike Leyral / AFP
Cette petite île du Pacifique, qui a connu une ruée vers son phosphate à la fin du siècle dernier, illustre les conséquences tragiques de l’exploitation irresponsable des ressources naturelles.
Un aiguillat commun (Squalus acanthias)
Boris Pamikov/Shutterstock
Noémie Coulon, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
C'est un constat qui alarme, car on a longtemps pensé que ces espèces s'acclimateraient, ayant survécu à des périodes passées aux concentrations atmosphériques de CO2 bien plus élevées qu'aujourd'hui.
Pour boire, les dauphins mangent des poissons.
Oleksandr Sushko / Unsplash
Nicolas Séon, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN); Peggy Vincent, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) e Romain Amiot, Université Claude Bernard Lyon 1
Qu’ils vivent dans l’eau douce ou salée, les dauphins ne peuvent pas directement boire pour s’hydrater, mais se servent de leur nourriture.
À une profondeur de plus de 60 mètres, les gorgones sont saines, colorées et en bonne santé : la profondeur les a temporairement protégées de la hausse de la température. Mais pour combien de temps ?
Alexis Rosenfeld avec l’Unesco
En Méditerranée, les vagues de chaleur déciment ces forêts sous-marines essentielles aux écosystèmes. Les gorgones semblent mieux résister dans les profondeurs, mais ce refuge pourrait n'être que temporaire.
La biodiversité est globalement menacée sur Terre.
Kazakova Maryia/Shuutterstock
Julien Blanco, Institut de recherche pour le développement (IRD) e Sarah Paquet, Institut de recherche pour le développement (IRD)
La biodiversité est menacée sur notre planète. Au-delà des services indispensables qu’elle nous rend, il est crucial de la préserver, car elle contribue à notre identité et a le droit d’exister.
Les toxines issues de la pollution s’accumulent dans le corps des épaulards par l’intermédiaire des petits poissons qu’ils consomment.
(Audun Rikardsen)
L’accumulation de polluants synthétiques dans la graisse des orques nuit à la santé de ces mammifères marins. Il est urgent d’agir pour résoudre ce problème.
Le poisson rouge est l'une des nombreuses espèces de poissons d'eau douce introduites par les humains dans les milieux naturels, bouleversant durablement leur aire de répartition naturelle.
Watts / Flickr / Creative Commons
Boris Leroy, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Les introductions de poissons d'eau douce, à travers le commerce, mais aussi l'ouverture de nouvelles voies de navigation, ont bouleversé la géographie de ces espèces. Un nouveau marqueur de l'Anthropocène ?
Le majestueux Saint-Laurent, joyau à l'importance économique, historique et environnementale, nous rappelle la nécessité de préserver cet écosystème essentiel.
(Ludovic Pascal)
Chloé Maurel, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
La communauté internationale reste divisée sur la protection de la haute mer et la mise en œuvre des quelques mesures protectrices sur lesquelles elle s’accorde reste lente face à l’urgence d’agir.
Un nouveau traité sur les océans pourrait réorienter les pratiques de pêche non durables qui ont cours en haute mer en Afrique.
L'industrialisation de la pêche et les changements de l'environnement ont amené beaucoup de problématiques sur la gestion de nos pêches.
(Fanny Fronton)
Fanny Fronton, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Non, le sang n’est pas stérile. Et analyser les bactéries qui s’y trouvent pourrait permettre d’évaluer la santé des poissons et d’éviter l’effondrement de leurs populations.
Une baleine échouée sur une plage de Sarzeau, en Bretagne.
FRED TANNEAU AFP
Il ne viendrait à l’idée de personne de manger un animal en voie de disparition comme le lynx ibérique. Alors pourquoi mangeons-nous encore des anguilles ?
En septembre 2022, dans le port de pêche de La Cotinière (île d'Oléron).
PHILIPPE LOPEZ / AFP
De nombreux critères d’évaluation et d’objectifs permettent d’apprécier la durabilité du secteur de la pêche.
La mairesse de Montréal, Valérie Plante, prononce un discours lors de la cérémonie d'ouverture de la conférence de l'ONU sur la biodiversité, la COP15, à Montréal, le 6 décembre 2022.
LA PRESSE CANADIENNE/Paul Chiasson
Réflexion sur la pertinence de fusionner les agendas sur le climat et sur la biodiversité afin d’éviter un système à deux vitesses dans une ère post-pandémique.
Le corail dentelle rose du Brésil, Stylaster roseusPedro Pereira
Directeur de recherche au CNRS en turbulence et océanographie au Laboratoire d'Océanologie et de Géosciences, CNRS, Université du Littoral Côte d'Opale, Université de Lille