Représentation du XVIIᵉ siècle de la Terre dans l’espace, gravure de Matthias Merian publiée dans l’Atalanta Fugiens de Michael Maier (1618), Oppenheim, Germany : Johann-Theodor de Bry.
Science History Institute
Lumières enchanteresses ou de mauvais augure, elles font partie des mythes et de l’identité des régions polaires. Qu’apprennent-elles aux scientifiques de nos jours ?
Pour son cinquième anniversaire, The Conversation France a organisé une série de webinaires.
La passion d’Hisako Koyama pour les étoiles commença pendant la Seconde Guerre mondiale. Ses mesures du Soleil sont un pilier des observations historiques de notre étoile.
Explorer l’espace ou l’exploiter ? L’atterrissage de la capsule du New Shepard, une fusée privée.
NASA / Fickr
La conquête de l’espace se renouvelle, et nous sommes à la croisée de deux chemins : celui d’une responsabilité commune et partagée et celui d’un individualisme débridé et profiteur.
Les astéroïdes conservent intactes des poussières datant de la formation du système solaire. Ici, l’astéroïde Ida et sa lune, Dactyl.
NASA/JPL
La poussière de l’astéroïde Ryugu devrait nous aider à mieux comprendre la formation du système solaire, entre origine de l’eau sur Terre et origine de la matière carbonée.
D'où viennent l'hydrogène et l'oxygène qui constituent l'eau terrestre ?
NASA Goddard/Flickr
Une étude récente montre que l’eau de la Terre pourrait provenir directement de l’oxygène et l’hydrogène présents dans les roches qui l’ont formée, et non d’un apport tardif par des astéroïdes.
Décollage immédiat pour découvrir en images Mercure et ses volcans !
Vénus. Prise en photo par Mariner 10 dans les années 70, l'image a été re-traitée en 2020 avec un logiciel moderne, et on y distingue mieux les nuages.
NASA/JPL-Caltech
Franck Montmessin, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Revenons sur la possible découverte de phosphine dans l’atmosphère vénusienne, ses implications et ses limites.
Image en couleurs réelles de Mars prise par l'instrument OSIRIS à bord du vaisseau spatial Rosetta de l'ESA lors de son survol de la planète en février 2007.
ESA & MPS for OSIRIS Team
À l’occasion du lancement de la nouvelle mission Mars 2020, nous vous proposons un dossier pour tout comprendre des nouvelles découvertes et des enjeux martiens.
Le pôle sud de Jupiter, vu par Cassini en 2000, à gauche; les courants créés dans le jacuzzi tournant du laboratoire, à droite.
NASA et D. Lemasquerier, B. Favier, M. Le Bars, IRPHE, CNRS, Aix-Marseille Univ, Centrale Marseille, France
À l’aide de bains bouillonnants et tapis roulants, des chercheurs reproduisent en laboratoire les phénomènes de l’atmosphère de Jupiter pour comprendre ce qu’on n’arrive pas à mesurer dans l’espace.
Les pôles magnétiques de la Terre se déplacent à environ 50 km par an. Affiche de 1894 de Georges Ripart.
Wikipédia
Le pôle Nord magnétique de la Terre se déplace d'environ 50-70 km par an. Pourquoi ?
En 2012, l'université de Montpellier-Nîmes lance ROBUSTA, le premier CubeSat français, ici une unité cubique de 10 cm de côté.
Université de Montpellier
Si les applications commerciales et de loisir des nanosatellites font polémique, ils servent aussi à faire de la recherche. Quelles en sont les applications possibles pour la science ?
Image de Neptune prise par Voyager 2, avec la Grande Tache Sombre et des nuages d'altitude.
NASA/JPL
Francis Rocard, Centre national d’études spatiales (CNES)
Allons-nous réussir à reprendre contact avec la sonde spatiale Voyager 2 après la rénovation de l’antenne qui sert à lui parler ? D’ici là, retour en images sur un voyage scientifique interplanétaire.
Cette simulation figure les orbites d’étoiles situées à très grande proximité du trou noir supermassif qui occupe le centre de la Voie Lactée.
ESO/L. Calçada/spaceengine.org
Une observation récente montre une étoile « dansant » autour d’un trou noir – l’occasion de revenir sur les descriptions du Cosmos dans l’histoire et d’en apprendre plus sur le cœur de la Voie lactée.
Philippe Labrot, Institut de physique du globe de Paris (IPGP); Charles Yana, Centre national d’études spatiales (CNES) e Philippe Lognonné, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
Mars et la Terre se ressemblent énormément, alors pourquoi notre planète abrite la vie à l’inverse de sa voisine ? La réponse pourrait venir de sa structure étudiée par la sismologie in situ.
Dessin illustrant la sonde Parker aux abords du Soleil.
NASA/Johns Hopkins APL/Steve Gribben
Kader Amsif, Centre national d’études spatiales (CNES)
Notre soleil a encore beaucoup de facettes cachées. La sonde « Parker Solar Probe » devrait nous en apprendre plus sur l’origine du vent solaire et sur le réchauffement de la couronne solaire.
Surface glacée d'Europe, satellite de Jupiter / NASA / Jet Propulsion Lab-Caltech / SETI Institute.
http://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?release=2014-406
Des recherches récentes ont mis en évidence l’existence de panaches de vapeur d’eau sur Europe, satellite naturel de Jupiter. Reste à comprendre la raison de leur présence…
Si on regarde la terre toujours du même endroit, on se rend bien compte qu'elle tourne, mais pourquoi ?
Freepik
4 000 exoplanètes découvertes, et ce n’est qu’un début. Des nouvelles techniques permettent aux astrophysiciens d’en savoir plus sur ces corps célestes qui nous fascinent.