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Regard porté sur l'affaire dite des “bébés sans bras” Brandon Day / Unsplash, CC BY

Dossier : Tout comprendre de l’affaire dite des « bébés sans bras »

Dans l’Ain, le Morbihan et la Loire-Atlantique, 14 bébés sont nés affligés d’une malformation de leurs bras ou de leurs mains : l’affaire dite des « bébés sans bras », médiatisée en 2018, continue de susciter une vive controverse à la fois scientifique et institutionnelle. Les étudiants de l’IPJ Clélia Bayard ; Arthur Gasqueres ; Etienne Meyer-Vacherand ; Adrien Palluet ; Augustine Passilly ; Clara Robert et Sebastien Rouxel ont enquêté pour répondre à la question : que s’est-il passé ?


Où en est l’enquête ?

Un bébé dans son berceau. Peter Beukema/Unsplash

Mi-avril 2019, l’affaire a fait l’objet d’une tentative d’explication autour de l’hypothèse d’une pollution de l’eau. Une piste parmi d’autres. Retour sur une enquête officielle peu communicante.


Des territoires en question

Blés et maïs en Dordogne.

Après les premiers cas dans l’Ain, des villages de Bretagne et de Loire-Atlantique ont été touchés. Le nombre de cas dans l’Ain n’est pas jugé anormal, du moins par les autorités sanitaires, mais celui des autres communes l’est. Comment l’expliquer ?


À quoi servent les registres des malformations

CHU de Rouen.

A l’occasion de l’affaire, le public a découvert l’existence de « registres des malformations » sur le territoire français. Et, par la même occasion, les fragilités du dispositif de surveillance des malformations congénitales.


La statistique au cœur de la controverse

Bébé au berceau.

Dans les communes touchées de l’Ain, du Morbihan et de Loire-Atlantique, la question cruciale est la suivante : est-il statistiquement normal, ou bien anormal, d’observer autant de bébés nés sans bras dans ces endroits ?


Un type rare de malformation à l’origine incertaine

Après la naissance.

L’agénésie transverse des membres supérieurs : une malformation rare dont l’origine échappe souvent aux médecins.


La piste toxicologique

Epandage d’un herbicide.

L’hypothèse court depuis le début de l’affaire : un ou plusieurs agents nocifs présents dans l’environnement seraient impliqués. Pesticides, médicaments, mélange de produits…

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