Selon une étude menée en collaboration avec le prix « Nobel » d’économie Lars Peter Hansen, la théorie de la décision constituerait un outil efficace pour trouver les meilleurs compromis.
Jacques Collineau, 75 ans, reçoit une dose du vaccin Pfizer-BioNTech dans la résidence Ephad de Debrou à Joué-les-Tours, le 28 décembre 2020.
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Résultats d'une étude sur le degré de résistance ou d’acceptabilité d’une population face aux diverses stratégies de lutte contre l’épidémie de Covid-19.
Que peut-on confier à une intelligence artificielle ?
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Les joueurs d’échecs mobilisent différentes stratégies pour se souvenir de parties précédentes — une inspiration pour un des concepteurs de l’intelligence artificielle.
Les données et les modèles sont indispensables, mais ils ne font qu’ouvrir des questions plus politiques.
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Jouer est un moyen efficace d’apprendre à gérer les crises dans des environnements virtuels réalistes. Scénarisation et gamification stimulent l’intelligence, la mémoire et la créativité.
Les travaux de l’économiste américain ont servi à démontrer la supériorité de la firme sur le marché en matière de création de valeur compte tenu de l’existence de coûts de transaction.
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Le prix « Nobel » d’économie 2009, décédé en mai dernier, a notamment proposé des outils d’arbitrage entre la sous-traitance des activités (le marché) et leur réalisation en interne (l’entreprise).
Face au chaos, ce qui n’est pas antifragile ne survit pas.
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Le philosophe Nassim Nicholas Taleb invite décideurs et experts à appréhender les crises comme des moyens de nous renforcer et non comme des désastres qu’il faudrait prédire de façon rationnelle.
A défaut de pouvoir lire dans des boules de cristal, les économistes restent en mesure de décrypter les mutations en cours et d'accompagner la prise de décision politique.
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Aussi soudaine qu’inédite, la crise que nous traversons interroge la pertinence de la prévision économique et invite les experts à faire preuve d’une grande humilité.
Jacinda Ardern, première ministre de Nouvelle-Zélande, et Juliet Gerrard, Chief Science Advisor.
Office of the Prime Minister Chief Science Advisor
Mettre en place des relations pérennes et efficientes entre science et politique pourrait aider à la gestion de crise.
Nous décidons sans cesse au sens où notre manière même de regarder le monde et de nous y rapporter est déjà une « décision ».
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L’action comporte trois étapes : la formation du jugement, l’arrêt de la décision puis sa mise en œuvre. Cela suppose d’apprendre à bien poser les problèmes.
Les recherches en cours peuvent sembler chaotiques et criblées d'incertitudes, et en équilibre avec des processus extrêmement cadrés.
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Les incertitudes sont inhérentes à la science et à nos vies - particulièrement en temps de crise. Un nouveau contrat émerge entre science et société.
L’absentéisme, les accidents du travail ou les défauts de qualité sont autant de coûts difficiles à prendre en compte pour les dirigeants des PME.
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L’impossibilité de dire ce qui sera « normal » à l’avenir nous rappelle que s’enfoncer dans la crise ou en sortir par le haut est de notre responsabilité à tous.
« Y a-t-il deux poids deux mesures ? ». Une question que de nombreux salariés se posent depuis mi-mars…
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Rétablir la confiance en corrigeant les différentes inégalités de traitement ressenties ces dernières semaines devra être un chantier prioritaire pour les managers lors de la reprise.
Admettre qu'on ne sait pas, étape décisive dans la gestion de la crise sanitaire.
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L’autorité des experts repose sur une vision idéale du fonctionnement de la science, qui méconnait les interdépendances de la recherche et de la société et l’importance des « savoirs d’opinion ».
Le président de la République Emmanuel Macron, le 26 mars dernier, en visioconférence avec ses homologues européens.
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Un retour sur les évènements des derniers mois révèle que plusieurs alertes issues de la recherche n’ont pas été intégrées à temps dans l’action gouvernementale.