Michel Viso, Centre national d’études spatiales (CNES)
Cette photographie nous renseigne sur le soin apporté au rover concernant sa propreté, à la fois pour assurer au mieux ses missions, mais aussi pour éviter de contaminer Mars avec de la vie terrestre.
Des études récentes montrent que ces coléoptères s’en remettent à la luminosité de la voûte étoilée pour savoir dans quelle direction aller.
Les deux radiogalaxies géantes trouvées avec le télescope MeerKAT. En arrière-plan, le ciel vu en lumière optique. Le rayonnement radio des énormes radiogalaxies, vues par MeerKAT, est superposée en rouge.
I. Heywood (Oxford/Rhodes/SARAO)
D’après ce que nous savons actuellement sur la densité des radiogalaxies géantes dans le ciel, la probabilité d’en trouver deux dans cette région du ciel est extrêmement faible.
Le 1er décembre 2020, la sonde lunaire chinoise Chang’e-5 a atterri sur la Lune.
STR / AFP
Dans les dix prochaines années, l’essor des petits satellites entraînera un changement de paradigme dans le secteur, notamment en termes de collecte et de traitement des données.
Capture d'écran du site Stellarium qui vous indique, selon votre localisation et l'heure, ce que vous pouvez voir dans le ciel.
Stellarium
Plusieurs agences spatiales visent à envoyer de nouveau des humains sur la Lune. Coopération et compétition géostratégiques et économiques au programme.
Lancement de la mission Mars 2020 Perseverance.
CRISTOBAL HERRERA-ULASHKEVICH/EPA-EE
Un nouveau président va arriver à la Maison Blanche et un nouvel administrateur à la NASA. Quels changements peut-on anticiper dans la politique spatiale américaine ?
Explorer l’espace ou l’exploiter ? L’atterrissage de la capsule du New Shepard, une fusée privée.
NASA / Fickr
La conquête de l’espace se renouvelle, et nous sommes à la croisée de deux chemins : celui d’une responsabilité commune et partagée et celui d’un individualisme débridé et profiteur.
Les astéroïdes conservent intactes des poussières datant de la formation du système solaire. Ici, l’astéroïde Ida et sa lune, Dactyl.
NASA/JPL
La poussière de l’astéroïde Ryugu devrait nous aider à mieux comprendre la formation du système solaire, entre origine de l’eau sur Terre et origine de la matière carbonée.
Pour comprendre, il faut revenir dans le passé et explorer les « bébés étoiles ».
Vous regardez en direction du centre de la Voie Lactée, dans le proche infrarouge. En suivant les mouvements des étoiles les plus centrales pendant plus de 16 ans, les astronomes ont pu déterminer la masse d’un objet compact supermassif caché au centre de notre galaxie, Sagitarrius A*.
ESO/S. Gillessen et al.
Vous partiriez bien en vacances en orbite ? Le point sur la consommation énergétique et l’empreinte carbone de tels voyages touristiques.
Françoise COMBES, astrophysicienne lauréate de la médaille d'or 2020 du CNRS, ici à l’Observatoire de Paris - PSL (LERMA, CNRS / Ecole Normale Supérieure / Univ. de Cergy-Pontoise).
Frédérique PLAS / LERMA / CNRS Photothèque
Retour sur la carrière de Françoise Combes, où l’on évoquera la matière, l’antimatière mais aussi les énergie et matière noires. Bref, la plupart des mystères de l’univers.
Dans l’industrie spatiale, les intérêts des acteurs publics et privés divergent.
Pickpik
La régulation ou le marché, l’action publique internationale ou la logique du profit peuvent-ils permettre d’empêcher la saturation des orbites et de nettoyer les débris existants ?
Le poids de l’industrie spatiale mondiale était estimé en 2019 à 366 milliards de dollars.
NASA / Flickr
La crise a engendré de nouvelles vulnérabilités pour les acteurs privés qui montaient en puissance ces dernières années.
Il y aurait actuellement en orbite plus de 130 millions de débris plus gros que 1 mm, à peu près 900 000 débris ayant une taille comprise entre 1 et 10 cm, et approximativement 34 000 débris plus grands que 10 cm.
Dotted Yeti / Shutterstock
Une régulation et un impôt forfaitaire sur les lancements de satellites permettraient de financer une politique efficace de dépollution de l’espace.
Image des feux (indiqués par des points rouges) et des fumées au-dessus de la Sibérie capturée par l’instrument satellite MODIS, le 1er juillet 2020.
Nasa
La canicule qui a frappé la Sibérie en juin aurait été impossible sans le changement climatique, qui a multiplié par au moins 600 les risques de chaleur prolongée dans cette partie du globe.
Professeur des Universités, Exobiologiste au Laboratoire Atmosphères Modélisaton et Observations Spatiales (LATMOS), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay