Le président chinois Xi Jinping et le président russe Vladimir Poutine posent pour une photo avant leurs entretiens à Pékin, en Chine, le 4 février 2022, durant les Jeux olympiques d'hiver.
(Alexei Druzhinin, Sputnik, Kremlin Pool Photo via AP)
La politique d’ambiguïté stratégique de la Chine pourrait lui permettre d’agir comme médiateur du conflit à un moment opportun, tout en favorisant ses objectifs géostratégiques à long terme.
Le drapeau ukrainien flotte aux côtés de celui de l’UE devant le Parlement européen à Bruxelles, le 28 février 2022.
François Wakshaerts/AFP
À moins d’un brusque recul russe, trois options sont aujourd’hui envisageables : la finlandisation de l’Ukraine, sa destruction quasi totale ou son amputation de ses territoires du sud et de l’est.
Un instructeur militaire forme des civils armés de répliques de fusils à la guérilla urbaine dans une usine désaffectée de Kiev, le 6 février 2022.
Sergei Supinsky/AFP
Gérald Arboit, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Quel est le rôle des services de renseignement occidentaux aux côtés de leurs homologues ukrainiens ? Des éléments de l’actualité immédiate permettent de faire un premier point.
Des manifestants crient des slogans anti-guerre à Saint-Pétersbourg, en Russie, dénonçant l'invasion de l'Ukraine par leur pays.
(AP Photo/Dmitri Lovetsky)
L’illusion de la réalisation d’un monde parfait génère une forme de naïveté dans nos comportements et nos attentes en Occident.
Le Président russe Vladimir Poutine assiste à une cérémonie de dépôt de gerbe sur la tombe du Soldat inconnu, près du mur du Kremlin, lors des célébrations nationales de la “Journée des défenseurs de la patrie” à Moscou, en Russie, le 23 février 2022.
(Alexei Nikolsky, Kremlin Pool Photo via AP)
Le président Vladimir Poutine a préparé de longue date sa propagande pour justifier l'invasion de l'Ukraine. Mais elle n'a pas eu les effets escomptés.
Volodymyr Zelensky s'adresse à des partisans après le second tour des élections présidentielles à Kiev, en Ukraine, en avril 2019.
(AP Photo/Vadim Ghirda)
Pendant les heures les plus sombres de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky a montré qu’il servait son peuple – pas seulement dans la rhétorique, mais surtout dans l’action.
Le 26 février, l’Union européenne, les États-Unis, le Royaume-Uni et le Canada ont décidé d’interdire aux banques russes l’accès au réseau financier international.
Shutterstock
La décision des puissances occidentales pourrait engendrer des effets collatéraux pour les partenaires de la Russie, sans limiter non plus les migrations vers les systèmes alternatifs existants.
Sans renier sa proximité avec Moscou, Xi Jinping a opté pour une posture précautionneuse en attendant l’issue de la guerre russe en Ukraine.
Mikhail Metzel/Sputnik/AFP
Emmanuel Véron, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Soutien international affirmé de Vladimir Poutine, Xi Jinping reste prudent quant à la position à adopter vis-à-vis de la guerre déclenchée par le Kremlin en Ukraine.
Un renard erre dans la ville déserte de Pripiat, à trois kilomètres de la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, en 2016.
(AP Photo/Sergei Chuzavkov)
Les véhicules militaires lourds peuvent soulever de la terre radioactive autour de Tchernobyl, et les combats à proximité risquent d’endommager l’abri en béton contenant le réacteur.
Emmanuel Macron avant une réunion internationale sur la situation en Ukraine.
Ludovic Marin / AFP
Le nucléaire civil est fréquemment présenté comme épargné par les risques géopolitiques. Mais l’actualité et les reconfigurations de la filière révèlent les limites de cette analyse.
Olga de Kiev est aujourd’hui reconnue comme l’une des plus grandes saintes de l’orthodoxie orientale. Son histoire sanguinaire, faite de défi et de vengeance, mérite d’être rappelée aujourd’hui.
La place centrale de Kharkov, dans le nord de l’Ukraine, après un bombardement russe, le 1er mars 2022.
Sergey Bobok/AFP
La résistance acharnée que l’Ukraine a jusqu’ici opposée à la Russie ne suffira pas à faire reculer Moscou, qui ne consentira à négocier réellement qu’en position de force.
Vladimir Poutine aux commandes d’un bombardier stratégique Tupolev-160.
Vladimir Rodionov/Ria-Novosti Kremlin Pool/AFP
Crise de Cuba, guerre du Kippour, euromissiles : ce n’est pas la première fois que Moscou met ses forces nucléaires en état d’alerte. Mais c’est la première depuis l’arrivée de Poutine au Kremlin…
Marine Le Pen en visite à Moscou, ici prise sur la Place Rouge le 2 mai 2015.
Kirill Kudryavtsev / AFP
La dynamique des candidats pro-russes repose sur d’autres facteurs que les questions internationales.
Le missile balistique intercontinental thermonucléaire RS-24 Yars pendant la répétition de la parade militaire du 9 mai 2016, sur la Place Rouge, à Moscou.
ID1974/shutterstock
L'offensive contre l'Ukraine se révélant beaucoup moins aisée que prévu, et les réactions occidentales étant massives, la Russie brandit une menace que l'on aurait tort de sous-estimer…
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School
Professeure des universités en études russes et soviétiques, Université de Rennes 2, chercheuse au CERCLE (Université de Lorraine), Université Rennes 2
Post-doctorant au Centre d'études sociologiques et politiques Raymond Aron (EHESS), Docteur en science politique associé au Centre de recherche Europes-Eurasie (CREE) de l'INALCO, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Docteur en Études slaves contemporaines : spécialiste de la géopolitique de la Russie et du sport, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières