Les investisseurs mais aussi les banques pourraient s’accommoder d’une situation durable de taux au plancher.
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Articles on crédit
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Les PME culturelles, en France, rencontrent des difficultés d’accès aux financements, en particulier lors de la phase d’amorçage. Quelques explications.
Un rapide calcul montre que l’expansion monétaire aurait généré un surplus de revenus trois fois plus important pour les ménages les plus aisés que pour les plus pauvres.
Une mesure ponctuelle de la situation de trésorerie des entreprises françaises permet de conclure à un quasi-retour à la normale dû notamment à l’injection massive de liquidités dans l’économie.
De grandes inégalités de traitement existent dans l’accès au crédit. Le choix de son conseiller et la mise en place d’une relation sur le long terme restent les meilleures solutions pour les corriger.
L’explosion du nombre de demandeurs d’emploi aux États-Unis suscite un risque d’insolvabilité qui inquiète les banques.
Une étude conduite à Madagascar montre les limites de la pratique du « cash transfer », pourtant plébiscitée par les bailleurs dans de nombreux pays du monde.
La faiblesse de l’activité économique et la hausse du coût du crédit ont découragé certains entrepreneurs dans leur projet, ce qui a pesé sur l’emploi et la productivité au niveau macroéconomique.
La zone CFA pourrait être le terrain privilégié d’expérimentation de la prochaine ère monétaire.
D’après la Banque mondiale, plus de 80 % des petites entreprises qui ont un manque de financement n’ont pas fait de demande de crédit.
Sans un durcissement de la réglementation ou un changement de cap des banques centrales, une nouvelle bulle financière risque d’apparaître.
Ni locaux, ni internationaux, ces établissements régionaux qui émergent depuis une dizaine d’années n’ont favorisé que modérément l’accès au crédit des plus modestes.
La diffusion de la crise bancaire à l’économie réelle s’est effectuée plus lentement qu’ailleurs car les banques et les investisseurs ont adopté un comportement de fuite progressive vers la sécurité.
L’architecture des innovations financières et le comportement des emprunteurs ont limité les effets en matière de lutte contre la pauvreté. Mais des voies d’amélioration existent.
Dans les pays émergents, les services financiers accessibles aux plus pauvres obligent les acteurs existants à adapter leur offre de crédit pour ne pas disparaître du jeu concurrentiel.
Top contributors
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Professeur de finance, IÉSEG School of Management
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Professeur de Finance, LEM-CNRS 9221, IÉSEG School of Management
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Postdoctorante, Utrecht University
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Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)
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Maitre de Conférences en Finance, iaelyon School of Management – Université Jean Moulin Lyon 3
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Economiste, Professeur affilié à PSE-Ecole d'Economie de Paris, professeur de finance, EBS Paris
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Chargé d'affaires au sein de la division des garanties, Agence française de développement (AFD)
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Honorary professor, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
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Professeur Associé en Economie et Finance, TBS Education
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Economiste, professeur affilié, Paris School of Economics – École d'économie de Paris
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Chercheur en SIC à la Chaire UNESCO ITEN (FMSH/UP8) - Avocat à la Cour d'Appel de Paris, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
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Université d’Evry – Université Paris-Saclay
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Enseignante-chercheuse en économie, Université de Bordeaux
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Directeur académique, Professeur associée en management des arts et de la culture, Burgundy School of Business
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Economiste Chercheur Senior, Paris School of Economics – École d'économie de Paris
