Anne Levesque, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa and Saïka Coriolan, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Les barrières et les oppressions auxquelles se heurtent les francophones les plus marginalisés en Ontario semblent être un angle mort dans les travaux récents de la Commission des droits de la personne.
Anne Levesque, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
L’absence quasi complète de français lors de la Commission sur l’état d’urgence ne s’explique pas tant par un réflexe de servitude des francophones eux-mêmes que par la crainte d’être méprisés.
Dans le contexte où la Loi sur les langues officielles du Canada est en voie d’être révisée, il est intéressant de réfléchir aux divers processus de révision des lois linguistiques au pays.
La majorité des francophones hors Québec ne croit pas que le français soit en péril, tandis que les Franco-Québécois s’inquiètent de l’avenir de leur langue dans une proportion similaire.
La chute de l’exposition à la langue française pendant le confinement pour les enfants instruits en français inquiète parents et éducateurs. Il faut se servir de la langue pour ne pas la perdre.