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Articles on français hors Québec

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Une foule traverse la rue, au centre-ville de Toronto. En Ontario, c'est la Commission des droits de la personne qui a comme mandat de protéger les personnes les plus marginalisées. Mais les besoins spécifiques des minorités francophones semblent dans l'angle mort. (Shutterstock)

Ontario : les droits des francophones les plus marginalisés menacés

Les barrières et les oppressions auxquelles se heurtent les francophones les plus marginalisés en Ontario semblent être un angle mort dans les travaux récents de la Commission des droits de la personne.
In English Only. Malgré qu'ils soient tous les trois francophone, la directrice adjointe des opérations du SCRS, Michelle Tessier, le directeur David Vigneault et la directrice exécutive de l'Évaluation intégrée du terrorisme, Marie-Hélène Chayer, ont témoigné en anglais seulement devant la Commission Rouleau, le 21 novembre 2022, à Ottawa. La Presse canadienne/Adrian Wyld

Le comble de l’anglo-normativité : les francophones parlant anglais à la Commission sur l’état d’urgence

L’absence quasi complète de français lors de la Commission sur l’état d’urgence ne s’explique pas tant par un réflexe de servitude des francophones eux-mêmes que par la crainte d’être méprisés.
Caroline Mulroney, ministre des Affaires francophones, en entrevue à Toronto, en février 2018. LA PRESSE CANADIENNE/Christopher Katsarov

À quand une loi sur l’épanouissement de la communauté franco-ontarienne ?

Dans le contexte où la Loi sur les langues officielles du Canada est en voie d’être révisée, il est intéressant de réfléchir aux divers processus de révision des lois linguistiques au pays.
Une étude montre que ce sont les jeunes Québécois, en particulier ceux de la grande région de Montréal, qui éprouvent le plus de crainte face à l’avenir du fait français dans la province. LA PRESSE CANADIENNE/Graham Hughes

Déclin du français : les jeunes francophones québécois plus inquiets que les jeunes Ontariens

La majorité des francophones hors Québec ne croit pas que le français soit en péril, tandis que les Franco-Québécois s’inquiètent de l’avenir de leur langue dans une proportion similaire.

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