La bourse régionale des valeurs mobilières de l’Afrique de l’Ouest joue un rôle majeur dans la mobilisation l’épargne locale via les investisseurs institutionnels.
Les premiers humains en Afrique ont pu se croiser avec une population fantôme qui s'est probablement séparée des ancêtres des humains et des Néandertaliens.
L’armée algérienne se méfie profondément du Hirak, ce mouvement social qui a emporté le système Bouteflika. Au point qu’une alliance entre les militaires et les islamistes n’est pas à exclure…
L’Afrique a besoin d’investissements massifs. Mais ceux-ci se réalisent à travers la montée de l’endettement public, ce qui est porteur de certains risques.
Cheikh Sokhna, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Le Magal est un événement religieux annuel à Touba (200 km de Dakar) où convergent des millions de pèlerins. Ce rassemblement expose à des risques accrus de transmission de maladies infectieuses.
Volontariste en matière de protection de l’environnement, la Chine entend « verdir » ses projets au sein des nouvelles routes de la soie. Mais pourra-t-elle, seule, éviter le greenwashing ?
Dans de nombreux États considérés comme « faillis », les donateurs internationaux se sont livrés à des tentatives de « state building » aussi coûteuses qu’inutiles.
Si le nom d’Edward Wilmot Blyden ne nous dit pas grand-chose aujourd’hui dans le monde francophone, l’homme fut incontestablement l’un des grands intellectuels africains du XIXᵉ siècle.
Une étude conduite à Madagascar montre les limites de la pratique du « cash transfer », pourtant plébiscitée par les bailleurs dans de nombreux pays du monde.
La notion d’« explosion » urbaine africaine alimente les visions catastrophistes. Or, si le nombre de mégapoles augmente, l’urbanisation se déroule en bonne partie dans les campagnes.
Les pays de la zone franc d’Afrique de l’Ouest ont décidé de créer une monnaie en 2020 en remplacement du franc CFA. Mais la région présente-t-elle les caractéristiques propices à une union monétaire ?
Le sommet qui a réuni à Pau, le 13 janvier dernier, les dirigeants de la France et du groupe G5 Sahel a débouché sur quelques mesures qui ne suffiront pas à ramener la paix dans la région.
Malgré les réformes de l’enseignement supérieur au Sénégal, l’offre de formation demeure insuffisante et n’est toujours pas adaptée au marché de l’emploi.
La prolifération des groupes armés terroristes issus des périphéries du Burkina Faso s’explique, en grande partie, par la déliquescence d’un État perçu, très souvent, comme illégitime.
De nombreux pays africains possèdent aujourd’hui tous les attributs de la démocratie, mais n’obtiennent pas pour autant de bons résultats économiques. Quelques éléments d’explication.
Coordinateur de l'Observatoire pour l'Afrique centrale et australe de l'Institut Français des Relations Internationales, membre du Groupe de Recherche sur l'Eugénisme et le Racisme, Université Paris Cité
Chercheur sénior au Bonn International centre for conflict studies (BICC) ; Chercheur associé au laboratoire Les Afriques dans le Monde (LAM), Sciences-Po Bordeaux., Université Bordeaux Montaigne
Anthropologue, Centre Régional de Recherche et de Formation à la prise en charge Clinique de Fann (CRCF, Dakar), Institut de recherche pour le développement (IRD)