Les craintes particulières liées à la vie humaine génèrent des questionnements qui pourraient conduire à modifier en partie les comportements des consommateurs, des salariés et des investisseurs.
Déjà contestée, la mesure de l’efficacité se complique en raison du passage au télétravail qui a provoqué une transformation des facteurs de production travail et capital.
Le pire n’est peut-être pas passé pour les États-Unis, où l’épidémie flambe à nouveau, menaçant la reprise économique. Cette actualité pèse sur le contexte de la présidentielle.
Les responsables financiers se disent nettement plus optimistes qu’à la fin du premier trimestre, mais hésitent toujours à relancer les projets d’envergure.
Le taux de refus de Bercy (2,4 % à mi-avril) aux demandes pour faire face aux difficultés de trésorerie ne prend probablement pas en compte les dossiers que les banques ne veulent pas monter.
Les gouvernements doivent arbitrer entre la protection sanitaire de personnes à l’espérance de vie en général faible et le degré de sévérité de la crise économique.
Face à la sous-capitalisation des TPE-PME françaises qui vont devoir rembourser les prêts garantis par l’État, des outils comme le prêt participatif ou les titres hybrides peuvent être mobilisés.
Le secteur d’activité, le niveau de dette ou encore la structure de l’actionnariat ont constitué des facteurs déterminants de l’évolution des cours au début de la crise sanitaire.
La crise sanitaire et économique actuelle met en exergue les limites de notre modèle de développement et pousse à une prise de conscience spirituelle sur l’évolution de la planète.
La pandémie a provoqué une baisse historique des taux des obligations d’État. Mais certains pays se retrouvent désormais beaucoup plus exposés à une crise de la dette.
Elba Astorga, La Conversation Canada et Camille Khodor, La Conversation Canada
La pandémie fait toujours rage, et pas seulement en matière de santé. En six mois, tous les paramètres socio-économiques ont changé dans le monde entier et peut-être de façon permanente.
La profonde crise économique dans laquelle est plongé le Liban s’explique par de multiples facteurs, au premier rang desquels la politique conduite depuis des années par sa Banque centrale.
Il ressort d’une consultation auprès du réseau VP Entrepreneuriat que les établissements devront notamment accompagner les personnes qui n’ont pas initialement choisi de lancer leur propre activité.
Les mesures d’urgence, les habitudes des entreprises ou encore des consommateurs rendent le scénario du maintien de l’existant plus plausible que celui de l’avènement d’un « monde d’après ».
Le Covid-19 met à l’épreuve les réformes bancaires entreprises à la suite de la crise de 2008 et révèle la fragilité des dispositifs prudentiels comme des mécanismes de résolution européens.