Le CNES (Centre National d’Etudes Spatiales) est l’établissement public chargé de proposer au Gouvernement la politique spatiale française et de la mettre en œuvre au sein de l’Europe.
Il conçoit et met en orbite des satellites et invente les systèmes spatiaux de demain ; il favorise l’émergence de nouveaux services, utiles au quotidien. Le CNES, créé en 1961, est à l’origine de grands projets spatiaux, lanceurs et satellites et est l’interlocuteur naturel de l’industrie pour pousser l’innovation.
Le CNES compte près de 2 500 collaborateurs, femmes et hommes passionnés par cet espace qui ouvre des champs d’application infinis, innovants et interviennent sur cinq domaines d’intervention : Ariane, les sciences, l’observation, les télécommunications, la défense.
Le CNES est un acteur majeur de l’innovation technologique, du développement économique et de la politique industrielle de la France. Il noue également des partenariats scientifiques et est engagé dans de nombreuses coopérations internationales.
La France, représentée par le CNES, est le principal contributeur de l’Agence spatiale européenne (ESA).
Michel Viso, Centre national d’études spatiales (CNES)
Cette photographie nous renseigne sur le soin apporté au rover concernant sa propreté, à la fois pour assurer au mieux ses missions, mais aussi pour éviter de contaminer Mars avec de la vie terrestre.
La conquête de l’espace se renouvelle, et nous sommes à la croisée de deux chemins : celui d’une responsabilité commune et partagée et celui d’un individualisme débridé et profiteur.
Michel Viso, Centre national d’études spatiales (CNES)
La mission Mars 2020 a décollé en juillet 2020 de Cap Canaveral. Elle prépare le retour sur Terre d’échantillons martiens — un défi immense sur les plans scientifique, d’ingénierie et de sécurité biologique.
Francis Rocard, Centre national d’études spatiales (CNES)
Allons-nous réussir à reprendre contact avec la sonde spatiale Voyager 2 après la rénovation de l’antenne qui sert à lui parler ? D’ici là, retour en images sur un voyage scientifique interplanétaire.
Trois vidéos de phénomènes aérospatiaux non identifiés ont été rendues publiques par les autorités américaines. Voici l’éclairage du GEIPAN, la structure française en charge d’étudier ces événements.
Philippe Labrot, Institut de physique du globe de Paris (IPGP); Charles Yana, Centre national d’études spatiales (CNES), and Philippe Lognonné, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
Mars et la Terre se ressemblent énormément, alors pourquoi notre planète abrite la vie à l’inverse de sa voisine ? La réponse pourrait venir de sa structure étudiée par la sismologie in situ.
Charles Yana, Centre national d’études spatiales (CNES) and Philippe Labrot, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
Depuis le mois de novembre 2018, un instrument enregistre l’activité sismique de la planète rouge. Les ondes renseignent les scientifiques sur la géologie et la structure martienne.
Kader Amsif, Centre national d’études spatiales (CNES)
Notre soleil a encore beaucoup de facettes cachées. La sonde « Parker Solar Probe » devrait nous en apprendre plus sur l’origine du vent solaire et sur le réchauffement de la couronne solaire.
La sonde européenne BepiColombo se posera en 2025 sur Mercure pour une investigation approfondie, mais ses survols apportent déjà des données préliminaires.
Sous-directrice adjointe des Projets en Sciences de l’Univers et Cheffe de Projet des contributions françaises à JUICE, Centre national d’études spatiales (CNES)
Doctorante en Océanographie Physique au Laboratoire d'Etudes Géospatiales de l'Océan et des surfaces (LEGOS) - CNRS, IRD, Toulouse III, Centre national d’études spatiales (CNES)