Apparu en 2019 avant de se voir relégué au second plan pendant la pandémie, le mouvement du Hirak cherche à subsister face à une répression gouvernementale qui s’intensifie.
Pourquoi, alors que le travail mémoriel sur la guerre d’Algérie est en cours en France, un travail similaire n’est-il pas effectué à propos de la guerre d’Indochine ?
L’armée algérienne se méfie profondément du Hirak, ce mouvement social qui a emporté le système Bouteflika. Au point qu’une alliance entre les militaires et les islamistes n’est pas à exclure…