L’intelligence artificielle peut traiter un grand nombre de vocalisations de poulets et identifier des schémas dans les communications entre volatiles.
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Le pétrissage est un comportement typique du chaton. Mais il peut se poursuivre à l’âge adulte, car il peut servir à communiquer des messages.
La science propose quelques indices pour savoir si votre chat ressent pour vous plus que de l’amour intéressé.
L’écureuil roux d’Amérique du Nord émet toute une série de sons, mais son cri de crécelle distinctif sert peut-être davantage à s’identifier qu’à mettre en garde les autres écureuils.
La relation homme-animal passe aussi par l'odorat. Sentir des odeurs venant d'humains stressés ou non-stressés induit des changements comportementaux chez les vaches et les souris.
Chez les humains, il existe un lien entre le développement du langage et les capacités cognitives. L'étude du même processus chez le chien permet de déterminer ses capacités au stade de chiot.
Molly était une femelle orang-outan, créatrice de plus de 1 300 dessins. Que nous apprennent-ils sur la manière qu’ont ces singes de percevoir et de représenter le monde ?
Les vocalisations produites par les oiseaux peuvent nous renseigner sur leur état et leurs capacités cognitives.
Les animaux ont-ils leur propre culture ? Une chercheure étudiant la culture des baleines soutient que oui. Mieux les comprendre est peut-être un moyen de les sauver de l’extinction.
Humains et chiens se côtoient depuis 15 000 ans et ont co-évolué. Le cerveau des deux espèces en porte la trace.
Une étude fascinante nous montre un tout autre système de communication que le notre pour se prévenir des dangers.
Il faut à la langue française un mot qui évoque à la fois la conscience, le ressenti et les émotions des animaux. Le terme anglais « sentience » qui dit tout cela mérite d’entrer au dictionnaire.
Des études ont montré que la zoothérapie pouvait avoir des effets spectaculaires sur les patients, en les aidant à s’ouvrir sur l’extérieur. Et ce dans le cas de plusieurs troubles psychiatriques.
Dans son ouvrage « La Forme animale » paru en 1948, le biologiste suisse propose une approche phénoménologique de la nature qui laisse toute sa place à l’émerveillement.
Top contributors
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Associate Professor, School of Animal and Veterinary Science, University of Adelaide
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Associate professor, Psychology and Biological Sciences, MacEwan University
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PhD Candidate, University of Adelaide
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Senior Lecturer in Animal Behaviour and Welfare, University of Bristol
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Professeure des universités en science politique, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
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Chercheur, gestion des prairies et nutrition des ruminants, Inrae
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PhD candidate in the Department of Biology, Dalhousie University
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Éthologiste, professeur des universités, directeur du laboratoire « Éthologie, cognition, développement », Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
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Directrice, Direction de la Recherche et des Etudes Doctorales (DRED), Université Paris Nanterre, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
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Chargée de recherche en éthologie, Institut catholique de Lille (ICL)
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Associate Professor, Psychology and Neuroscience, Dalhousie University
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Maître de conférences en éthologie, primatologie et éthique animale, CNRS, Université de Strasbourg
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Docteur en biologie spécialisée en comportement animal, University of Zurich
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Sémioticienne, maître de conférences (hdr), Sorbonne Université
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Docteur vétérinaire, Docteur en anatomie fonctionnelle et en archéozoologie, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
