Certaines situations de santé, comme les changements hormonaux durant la ménopause, peuvent entraîner une perte osseuse excessive. En prévention, l’alimentation et l’activité physique peuvent aider.
L’ostéoporose est liée à plus de 370 000 fractures par an en France. Et les femmes ne sont pas les seules concernées : dans 25 % des cas, les hommes sont touchés, avec des complications spécifiques.
Il n’existe aucun traitement contre l’ostéoporose, qui affecte des millions de personnes et coûte chaque année des milliards d’euros. Et si la solution se trouvait dans la bile ? Explications.
L’ostéoporose est un problème de santé publique majeure. Trop souvent considérée comme une fatalité due au vieillissement, il s’agit pourtant d’une maladie que l’on peut dépister et traiter.
L’analyse d’os anciens, vieux de centaines ou de milliers d’années, suggère que notre squelette est aujourd’hui plus fragile que celui de nos ancêtres. Ce qui n’est pas sans conséquence.
Investigador Principal grupo Fisiopatología Ósea, Universidad CEU San Pablo. Profesor en el área de biología celular e histología, Universidad CEU San Pablo