Un cadre de référence, porté par une autorité légitime et qui prendrait en compte l’impact de l’entreprise sur la société, rendrait visibles les responsabilités des différents acteurs.
La Commission européenne a proposé fin avril une directive visant à mieux évaluer l’activité extrafinancière des entreprises dans le sillage de plusieurs initiatives mondiales.
Souad Lajili Jarjir, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC); Aya Nasreddine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières, and Marc Desban, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Une étude montre que les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) influent sur la rentabilité des titres, ce qui corrobore l’hypothèse d’un changement de paradigme en finance.
Décryptage des marges de manœuvre et des difficultés à surmonter par chaque type d’acteur pour que soient tenus les objectifs de la transition énergie-climat.
Elise Alfieri, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC) and Yann Ferrat, Université Grenoble Alpes (UGA)
Selon une étude, les monnaies virtuelles qui maintiennent une relation privilégiée avec les développeurs, les utilisateurs ou encore les autorités se créent un avantage.
urce d’avantage compétitif
Des entreprises qui se classent bien sur certaines listes évaluant les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), arrivent en bas d’autres listes. À quels classements se fier ?
Adopter le statut prévu dans la loi Pacte de 2019 renforce la performance globale des organisations affichant depuis longtemps leurs engagements sociaux et environnementaux. Trois cas l’illustrent.
Dans une enquête réalisée par l’Edhec, la majorité des répondants estime que l’intégration des critères environnement, social et gouvernance permet de réduire l’exposition au risque de long terme.
Il ne s’agit pas d’opposer finance responsable et irresponsable, mais plutôt de se réapproprier l’outil « finance » pour mieux le mettre au service de l’économie.