En matière d’allocation des financements publics, qui peut réellement (se) réclamer de l’équité ? Avant de faire comme trop souvent le procès des joueurs, rappelons les règles du jeu.
Réindustrialiser, rendre attractifs les territoires : ces promesses de campagne peuvent-elles résister à l’analyse poussée des différentes mesures de décentralisation ?
En réduisant le nombre de régions de France métropolitaine à 13, la loi NOTRe, adoptée en 2015, a engendré un double défi pour ces dernières : celui de « faire région » et de « faire France ».
L’application des paramètres de la LPPR peut aboutir à des politiques à la fois inefficaces sur le plan économique et nuisibles en matière d’aménagement des territoires.
Les Européennes n’échappent pas à la règle : rien n’est moins innocent politiquement que de fixer un seuil électoral, un dosage de proportionnalité, un nombre de sièges à pouvoir.
À un moment où Paris est à la peine avec ses territoires et où l’Europe apparaît comme privée de sens pour ses citoyens, et si l’ex-région Alsace apportait quelques solutions ?
Dans les communes, les départements ou les régions, certains agents atteignent un niveau élevé de fatigue, qui peut entraîner un burn-out. Lequel n’est pas réservé au secteur privé.
Au-delà du chaos et du choc des ambitions qui marquent toute campagne présidentielle, on voit de plus en plus clairement que la géométrie de l’espace politique française n’est plus stable.
Le rôle des collectivités locales dans le paysage de l’enseignement supérieur et de la recherche s’est développé en France. Mais quel est leur vrai poids stratégique et politique ?