Le projet de réforme de l’assurance-chômage prévoit un nouveau dispositif de taxation pour les contrats courts. Les dernières mesures en la matière n’ont pourtant jamais eu d’effet sur leur volume.
Les plates-formes spécialisées dans la finance participative ont des intérêts commerciaux qui les éloignent de la logique de don sur laquelle elles reposent.
Retrouvez les invités de Jean‑Philippe Denis, professeur à l’Université Paris-Sud, Paris-Saclay et rédacteur en chef de la RFG. À la une cette semaine, « la nouvelle doctrine de Bercy ».
Si les promesses des grands groupes s’inscrivent dans un contexte d’essor du mécénat d’entreprise, celles des particuliers tranchent avec la crise du don que connaît aujourd’hui la France.
Même si des progrès ont été réalisés ces dernières décennies, la fin de la course au moins-disant social et fiscal apparaît encore comme une perspective lointaine dans l’UE.
Du point de vue du consommateur, la taxe sur la valeur ajoutée apparaît relativement injuste. Mais d’autres dimensions doivent venir compléter l’analyse.
Face à l’épuisement du ressort de la fiscalité indirecte, le gouvernement pourrait être tenté de mettre en place des prélèvements affectés à des dépenses spécifiques. Une option qui a ses limites.
Des mesures donnant plus de pouvoir au Parlement européen en matière fiscale pourraient enrayer la baisse du taux de participation aux élections. Reste à en convaincre Paris, Rome et Berlin.
Le succès d’Airbnb déclenche des accueils à géométrie variable selon la zone où se situent les logements. La plate-forme doit en conséquence s’adapter à de multiples réponses en termes de régulations.
Certains facteurs comportementaux ont contribué au bilan décevant du CICE. Il existait pourtant des outils pour contourner les biais psychologiques chez les chefs d’entreprise.
Des économistes du CEPII estiment qu’en cas de non-accord, les PIB du Royaume-Uni et de l’Union européenne pourraient respectivement reculer de 2,8 % et 0,8 %.