Une toute nouvelle étude publiée en couverture du magazine de référence Science permet de décrire avec une précision inégalée des fossiles de trilobites.
Reconstituer le puzzle de l'évolution de notre cerveau n'est pas une mince affaire.
Anne Koeleman/Shutterstock
Les ichtyosaures sont les derniers reptiles géants à avoir régné sur nos océans. Un fossile trouvé par une adolescente et son père a permis d’en découvrir une nouvelle espèce, la plus récente connue.
Une chauve-souris à face fendue égyptienne, Nycteris thebaica.
Mariëtte Pretorius
La rareté des fossiles de chauve-souris est bien plus qu'un simple casse-tête paléontologique, elle a aussi des répercussions pour les stratégies de conservation des chauve-souris aujourd'hui.
Abelisaurs. Dessin d'Andrey Atuchin.
Nicholas Longrich
Saviez-vous que les animaux qui nous entourent aujourd’hui en Europe viennent majoritairement d’Asie ? Une nouvelle étude vient expliciter les mécanismes derrière cette évolution.
Un tibia d’Ornithomimosaure provenant du gisement d’Angeac-Charente, et une lame mince pour étudier les cernes de croissance dans la section de l’os.
@ Laurence Godart / DIM PAMIR / CNRS
Jean Goedert, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) e Ronan Allain, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Combien de temps vivaient les dinosaures ? À quel âge étaient-ils « adultes » ?
Le fossile original Cro-Magnon 1 et une image virtuelle montrant grâce à l'imagerie la moitié droite de l'endocrâne et la moitié gauche du crâne (le code couleur sur le crâne correspond à la variation d'épaisseur des os).
Antoine Balzeau CNRS/MNHN
Antoine Balzeau, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Les tissus mous du cerveau ne fossilisent pas, il est donc nécessaire d’extrapoler pour obtenir des informations sur l’organe de nos ancêtres. Le fait-on correctement ?
Avec l’arrivée des humains sur l’île de Sainte-Hélène, l’écosystème a été totalement bouleversé. Une équipe de scientifiques tente de savoir quelles espèces d’oiseaux y vivaient.
Turbo parkisoni
@ Laurence Godart / DIM PAMIR / CNRS
Didier Merle, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Un beau coquillage, qui vivait sous les tropiques auprès de récifs coralliens, il y a 30 millions d’années… dans les Landes.
Représentation artistique de la morphologie et de l'environnement de vie des spécimens protistes étudiés faisant partie des « Gabonionta ».
A. El Albani
Une nouvelle étude vient rebattre les cartes de ce que nous savions de l’apparition des cellules eucaryotes.
Les deux sites de fouille : Ksar Akil (à gauche) et la Grotte Mandrin (à droite).
Reproduction photographique de Ksar Akil avec la permission du Peabody Museum, Harvard University, 998-27-40/14628.1.30.
Les plantes et les insectes ont évolué ensemble, s’adaptant les unes aux autres. Quoi de mieux des des mandibules géantes pour délicatement récolter du nectar ?
Une libellule-fleur sait voler de multiples façons. Neurothemis mâle, Parc National Sai Yok en Thaïlande.
Romain Garrouste, MNHN
Le cerveau se développait-il aussi rapidement pendant la grossesse chez nos ancêtres que chez l’espèce humaine ? De nouveaux indices fossiles et in utero.
Tritylodon, un théropside, reconstitué comme un animal nocturne à sang chaud. Notez la vapeur qui sort de ses poumons.
Illustré par Luzia Soares
Des fossiles australiens de poissons à mâchoire permettre de mieux comprendre notre évolution.
Reconstruction de différents modes de locomotion dans le désert du Djourab (Tchad).
Sabine Riffaut, Guillaume Daver, Franck Guy / Palevoprim / CNRS – Université de Poitiers / MPFT
Une toute nouvelle étude dévoile le mode de locomotion de nos très anciens ancêtres, des humains capables de marcher mais aussi d’évoluer dans les arbres.