Pour mieux protéger les travailleurs des plates-formes, la France vise, avec peu de succès pour l’instant, à renforcer le dialogue social. Le salariat ou l’autorégulation pourraient être des réponses.
Le nombre d’acteurs présents sur le marché de la livraison « instantanée » de courses à domicile a fondu en deux ans. Le secteur dispose encore néanmoins de plusieurs atouts.
Une série d’études montre que l’irrégularité des rentrées d’argent détériore le bien-être au travail aussi bien chez les auto-entrepreneurs des plates-formes que parmi les postes à responsabilité.
Formation sans certification, rôle des influenceurs et débrouillardise : les jeunes qui espèrent gagner de l’argent rapidement dans le commerce en ligne se démarquent des entrepreneurs aguerris.
Éloigner les entrepôts des centres-villes semble à première vue augmenter les distances parcourues, donc les émissions de GES. Les effets sont en réalité plus complexes.
La ville de Paris a adressé ses premières amendes le 28 septembre exigeant la reconfiguration de deux mini-entrepôts en commerce. Cette réponse juridique soulève plusieurs problèmes. Décryptage.
À l’instar de la ville de Paris, de nombreuses municipalités tentent de limiter l’implantation de ces structures nécessaires au e-commerce et aux livraisons dites « instantanée ».
Les grands chefs restent dans l’ensemble réticents, mais les nouvelles pratiques en ligne présentent pourtant des opportunités pour conquérir de nouveaux clients !
L’essor de la « livraison par la foule », ou crowd-delivery, a conduit à une diversification des modèles d’affaires des acteurs, dont le potentiel disruptif est loin d’être épuisé.
Si la cyclologistique représente à première vue une aubaine pour réduire l’impact carbone du e-commerce, elle pose un certain nombre de défis au sein des villes.
Comment prend-on soin des livreurs de plateformes, souvent exposés à des risques multiples ? Quels sont leurs besoins en termes de protection sociale ? Une enquête leur a posé directement ces questions.
Ces travailleurs des plates-formes ont été confrontés à une baisse de leur activité, des risques sanitaires accrus, et même une exposition renforcée aux contrôles de police pour les sans-papiers.
En ouvrant son premier magasin dans le centre de Paris, le géant suédois transforme son modèle d’affaire, ce qui peut être considéré comme une bonne nouvelle pour des centres-villes qui se meurent.