Comprendre le cycle côtier du plastique permettrait de mieux évaluer le volume des déchets présents dans l’eau et sur la plage afin de lutte plus efficacement contre ce phénomène dramatique.
Vue aérienne de la commune vendéenne de La Faute-sur-Mer, quelques jours après le passage de la tempête Xynthia, fin février 2010.
Bertrand Guay, AFP
Le jeu LittoSIM sensibilise les décideurs des collectivités territoriales soumises au risque de submersion. Il montre la capacité des décideurs à envisager différemment l’anthropisation du littoral.
L’écluse du vieux port sur la réserve naturelle nationale de Lilleau des Niges.
Olivier Crouzel
Face à la montée des eaux, deux options s’offrent à nous. Protéger les activités anthropiques en renforçant les digues tant que cela est possible, ou redonner peu à peu sa place à la nature.
A Oye-Plage aux Ecardines, les bunkers, autrefois sur la digue, sont maintenant en haut de plage. Les maisons sont juste derrière le cordon dunaire.
Une équipe pluridisciplinaire de chercheurs a étudié la réaction des habitants de deux communes du Pas-de-Calais face à l’érosion du littoral qui menace leurs lieux d’habitation.
Pour les poissons aussi, le paysage sonore évolue.
Peb&Fox/Syndicat national de l’édition
Quand une vague un peu plus haute que ses voisines leur pompe de l’énergie, augmentant ainsi son amplitude au détriment de son environnement immédiat, on obtient une vague scélérate.
En 2019, quelque 769 500 bateaux de plaisance à moteur étaient immatriculés en France.
Pexels
Dans le golfe de Gascogne, les activités anthropiques exercent de nouvelles pressions sur les écosystèmes océaniques profonds, et notamment des récifs coralliens.
Vagues s’écrasant contre les digues du port des Sables d’Olonne, le 21 février 2015.
Jean-Sébastien Evrard / AFP
La mer monte, et nous dressons des digues qui repoussent le problème sans le résoudre. Des solutions d’adaptation fondées sur la nature existent pourtant dans les marais littoraux.
Amira Chaabane, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) e Jean-Lou Justine, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Les mérous de Méditerranée ne sont pas seuls : ils hébergent de nombreux parasites, très diversifiés ; de fascinantes créatures.
Les autorités locales doivent faire preuve d’agilité pour satisfaire les attentes de leurs concitoyens après deux mois de confinement.
Claudiovidri/Shutterstock
Pour localiser et expertiser leur patrimoine culturel immergé, les scientifiques ont recours à des technologies de plus en plus sophistiquées, combinant précision maximale et préservation des épaves.
Avec 8 483 MW installés en 2019, le Royaume-Uni fait figure de leader mondial incontesté de l’éolien en mer.
Shutterstock
Directeur de Recherche CNRS, Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Ecologie marine et continentale (IMBE), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)